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 Si y'a le feu, lance l'eau.

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MessageSujet: Si y'a le feu, lance l'eau.   Si y'a le feu, lance l'eau. EmptyMar 6 Jan - 0:31



EL FUCKER


Date du décès
02/02/1305

Cause de la mort
Tombé au combat. (Où comment trébucher au mauvais moment.)

Péché
Ire.

Nationalité
Bretonne.

Prénoms & nom
"Lancelot" Galaad D'Armorique

Âge d'apparence
28 ans.

Profession
Lieutenant de la Milice.

Signes distinctifs
Un langage très fleuri quand il daigne parler, la fâcheuse manie d'avoir toujours des bleus quelque part, une épée à son flanc gauche.



C'mere, I'll tell you what the fuck's wrong with me.


Il exista bien, un jour, ce chevalier plus vivant que tous et dont la foi envers Dieu était inébranlable. Il exista une époque où Ses paroles guidaient les pas et l'épée d'un chevalier suivant aveuglément Sa lumière. Ouais, avant. Quand il y repense, le dit chevalier, il a surtout l'impression d'être devenu un vieux con aigri détestant sa jeunesse. Ce serait pas faux ceci dit, mais pas vraiment exact non plus. De toute façon, c'était y'a tellement longtemps tout ça, il est plus capable de s'en souvenir correctement. C'est que des impressions qui s'étiolent au profit de ce qu'il est devenu ici, là, maintenant. Il sait pas s'il regrette. C'qu'il est devenu, s'entend. Il en sait foutrement rien et vaut mieux pas lui poser la question. Probable qu'il ne réponde pas de toute manière, vu son caractère. Mais mine de rien, ça l'emmerde. Ça l'irrite. Ça l'agace. Ça l'enrage.

Il avait été le plus fidèle de tous. Le plus fidèle à Arthur et à sa quête. Le plus fidèle à Dieu. Sa vie entière, il l'avait construite avec l'aide de Dieu et de Ses commandements. Il avait été humble. Il avait toujours aidé et protégé les démunis. Il avait toujours été aimant, même envers ses ennemis, même envers les païens encore perdus dans l'obscurité des dieux de l'ancien temps. Il avait tenté d'être vertueux et pieux, malgré son imparfaite humanité. Il avait fait vœu de chasteté, quand bien même son cœur se crevait pour sa reine, préférant une vie solitaire et vouée à l’Éternel. Il avait tant sacrifié, jusqu'à son honneur, pour suivre la voie prêchée par l'église. Et il aurait sacrifié plus encore s'il l'avait fallu. Mais tout ça, au final, ce n'était rien, rien, comparé à la crédulité qui l'habitait à l'époque. Si parfois Lancelot éclate de rire sans raisons, au milieu de la rue, d'un bar ou de sa chambre, c'est pour ça. C'est parce qu'il est parvenu à gratter ses souvenirs jusqu'au sang, jusqu'aux nerfs, jusqu'à ses putains d'os, et il s'est alors souvenu de cette évidence. De toute sa vie sur Terre, il n'avait été qu'un pauvre con, un type tellement crédule. Si naïf. Et ça le tord de rire. Si, si, c'est vrai. Il en rit tellement qu'il en pleure et que son ventre lui fait mal. Les rares fois où il parvient à se remémorer cela, il rit.

Parce que Dieu ne mérite pas d'être aimé par l'homme.

Dieu ne mérite pas que l'homme se sacrifie pour Lui, en Son nom, à Sa place. Aucuns de ses compagnons ne méritaient de mourir. Aucuns des chevaliers de la Table Ronde ne méritaient de fins aussi atroces que celles qu'ils avaient subies. Au nom du Seigneur. Le Seigneur ne mérite rien de la part de l'homme, sinon haine. Lancelot avait fini par le comprendre, alors que toutes ses convictions s'effondraient lentement les unes sur les autres, que l'incompréhension lui noyait les veines. Pourquoi Dieu les châtiait-il ainsi ? N'avaient-ils pas tous été Ses plus loyaux valets ? La quête du Graal perdit son sens à mesure que Lancelot perdait la foi en Dieu, renversant son être entier autour d'une nouvelle épiphanie, révélatrice de cette trahison qu'il avait été bien trop lent à comprendre.

Seul l'homme mérite que l'on ait foi en lui. Seul l'homme est digne d'amour. Dieu est un usurpateur, un traître, un félon.

Et donc en gros, voilà. Ca, c'était Lancelot avant. Z'allez voir, maintenant, il est un poil plus funky, le prude chevalier. Tout en étant bizarrement resté assez fidèle à lui même. Une sorte de relooking caractériel assez subtil. On garde les murs mais on refait la peinture, m'voyez ? Par exemple, il l adore lire, Lancelot. Déjà de son vivant, les écritures saintes et les légendes bretonnes étalées sur manuscrits l'attiraient. Aujourd'hui, il a élargi son éventail de styles, il vit avec son temps, le preux chevalier. Et il aime toujours autant lire. Surtout les œuvres des auteurs qui écopent leur damnation aux Enfers, eux aussi. Des fois il va taper la discute avec eux. Avec un Sade, un Poe, un Baudelaire. Ça influence beaucoup ses manières de s'exprimer, selon les périodes. Voyez plutôt.

Lancelot est toujours loyal. Mais désormais, il choisit ses maîtres. Il choisit ses souverains. Et il choisit ses dieux. Lancelot est toujours humble. Car il est suffisamment craint pour être respecté. Lancelot est toujours aimant de tous. Il les torture, les frappe sans une once de merci, les défigure sans la moindre trace de remord, mais il les aime, tous, à en crever. Lancelot est toujours un peu crédule. Uniquement parce que sa croisade contre Dieu l'obsède. Lancelot est toujours prêt à se sacrifier pour servir une cause. La sienne. Lancelot est toujours solitaire. Errant de ci de là avec indifférence. Lancelot est toujours fort. Sauf qu'il ne retient plus ses coups. Lancelot est toujours un chevalier. Et les Enfers sont le royaume qu'il défend. Mais il n'est plus pieux. Il est un parjure, un hérétique, ayant maudit le Nom de Dieu de son vivant et dans sa mort. Il n'est plus vertueux. Maintenant, selon son bon plaisir et uniquement le sien, il ment, il s'enivre, il trompe, charme et tyrannise. Il n'est plus ni bon ni tendre. Mais froid et impitoyable. Sa patience est aussi grande que son sang-froid, et l'implacable efficacité avec laquelle il atteint ses objectifs trahit son passé militaire, faisant de lui le Lieutenant redoutable qu'il est aujourd'hui. Il n'est plus poli. Quand il daigne ouvrir la bouche, il s'en échappe parfois un langage mi-moderne mi-désuet ponctué d'injures et de blasphèmes. Il n'est plus chaste. Même s'il ne se prélasse qu'en de rares occasions entre les draps de ses amants. Il n'est plus assujetti. La leçon, il l'a bien apprise. Il n'est plus calme. L'essence même de Lancelot s'est muée en une lame chauffée à blanc par la rage qui ne quitte jamais ses tripes et qui guide le moindre de ses gestes ici bas.

Voilà, fin de phase. Maintenant, il monologuera en parlant de lui à la troisième personne de manière plus funk et plus. Populaire, disons. Non, franchement, ce mec, il a un bon sens de l'humour en plus, hein, faut pas croire, mais il a toujours été engoncé dans une identité si sérieuse et droite que même ici impossible de s'en défaire. Il a les pieds sur terre, pour ainsi dire, et l'esprit qui divague. Du coup, dans sa tête, il se marre bien. Et sur sa face de tatane délavée, y'a un coin de bouche qui se soulève en un rictus et basta. Pas qu'il soit inexpressif, au contraire, il aurait même plutôt tendance à parler avec son visage, à poser des questions sans rien dire, montrer son assentiment ou son désaccord d'un mouvement de sourcil, vous faire comprendre que, là, il vous insulte silencieusement et qu'ici il essaie de vous dire qu'il vaudrait mieux la fermer. Mais jamais grand chose de ses émotions ou de ses réflexions personnelles. Il garde tout en lui par habitude depuis des siècles, pas maintenant qu'ça va changer. Enfin, si, un peu. Quand il s'en va boire un coup, ou trois, ou trente, là y'a matière à commencer une discussion. Et entre les deux doigts qu'il fout bien profond au ciel, à Dieu et à toutes ces conneries, et son besoin de castagne constant qu'il extériorise de manières diverses, variées et folkloriques, Lancelot gardera peut-être un peu moins et donnera peut-être un peu plus. Si votre sale gueule lui revient. S'il estime que vous le méritez. S'il s'emmerde. S'il vous respecte. S'il veut vous foutre dans son pieu parce que ça fait un bail qu’il n’a pas déchargé. Ou encore s'il a oublié son porte feuille et qu’il ne peut pas se payer son casse dalle du midi. Alors là, oui, peut-être qu'il fera un peu moins l'huître, du moins il saura vous en donner l'illusion et vous, vous y croirez. Y'a pas grand chose à savoir sur lui de toute façon. C'est qu'un type rongé par une haine acide d'avoir été salement abandonné et trahi par ce père qu'il admirait et aimait tant.

Who dat, who dat ?! Dat me.


Vous voyez l'grand chauve à col roulé, là ? C'est Lancelot. Sauf qu'il est pas chauve, il a juste les cheveux très courts et d'une pâleur blonde presque aussi livide que sa peau. Ça prête à confusion, c'est sûr. Ah, et il a pas de col roulé non plus, oh, faut pas déconner. Les t-shirts noirs, c'est la vie. Ouais en fait y'a que le grand qui correspond. Et quel grand. Limite s'il a pas les oreilles qui gèlent à cause de l'altitude. C'qui peut amener à se questionner sur la température qu'expérimente les gens encore plus grands que lui et son mètre quatre-vingts cinq. M'enfin, ça, c'est un autre débat. Notre Blanche Neige, là, on n'a jamais trop su pourquoi il était de complexion aussi pâle. Y'en a qui disaient qu'c'était parce qu'il avait du sang d'ange dans les veines, rien qu'ça. Mais on sait bien qu'c'est faux, pas vrai ? Personne n'ayant les yeux gris ne peut se targuer d'être un ange. Et les iris métalliques de Lancelot ne font pas mentir cette vérité universelle. Faut voir le regard qu'il se coltine aussi. Détaché, froid, direct, sans artifice. Haineux. Il n'est pas rare qu'un sentiment d'impuissance naisse face à ses yeux. Parce qu'ils donnent l'impression d'être capables de vous arracher à vous même, d'extirper c'que vous êtes de votre pauvre carcasse et de vous foutre à nu, aux vues et aux sues de tous, parce que ce regard vous hait et cette rage n'est qu'un raz de marrée impossible à contenir. Un regard pareil, ça t'empale le bide et quoi que tu fasses, gars, t'as perdu. T'as perdu.

Perdu-e aussi celui ou celle qui aura le privilège de voir le chevalier déchu sans aucune armure. 'fin sans fringues quoi. A poil. Parce que, mec, une peau pareil, quand tu baises, c'est divin. Les cicatrices de sa vie d'antan qui s'enchevêtrent et s'emmêlent sur ses épaules, ses bras, ses flancs, qui t'écorchent les doigts quand tu les dessines, et celle, mortelle, qui lui déchire le ventre. Les zones vierges, où la peau parait grise, laissant voir un réseau de veines bleues sous sa surface. C'est rugueux, moche, défiguré. C'est intact, et à jamais inaltérable. Lancelot ressemble a des fils barbelés rouillés étranglant la fourrure blanche et immaculée d'un loup.

Ouais, ce fils de nonne est bien foutu, mais Lancelot a pas l'air d'être au courant. Son physique n'est pas fait pour plaire, il est fait pour être efficace et on le sent à son port de tête, à son maintien de soldat, à l'aura de menace et de vigilance qui suinte tout autour. Ce corps est fait pour combattre, pour parcourir des milles à dos de cheval, pour mener des quêtes dangereuses, pour partir en campagne, pour partir en guerre, pour bouffer du cadavre au petit dej' si le dit cadavre se dresse en travers de sa route et de son objectif. Les circonstances ont fait de lui un mec élancé, solide, à la musculature noueuse et aux mains pleines de cales et de coupures parce qu'il se devait d'être fort. Il devait être capable de jouer avec une épée lourde à deux mains ou une dague luisante de poison aussi facilement que s'il s'agissait d'un bout de bois, le tout en portant une armure complète pesant le poids d'un homme mort. Si on y regarde de près, on peut encore voir les marques légèrement plus foncés sur sa peau, laissées par le frottement des sangles et des plaques d'armures au niveau des jonctions les plus mobiles.

Il a laissé tombé l'armure. De toute façon, il est increvable ici, pas la peine de s'encombrer. Du coup, Lancelot a très vite opté pour le plus léger et le plus pratique possible. Aka t-shirt, souvent manches courtes, sombre de préférence, plus pantalon ample et robuste, en toile tout d'abord, puis en lin, puis en jean quand cette matière a fait son apparition. Lancelot aime bien ça, les jeans. Ça se voit d'ailleurs, vu la gueule qu'ont ses futals. Usés jusqu'à la corde, lapidés au niveau des genoux et des coutures, un coup de vent et le truc se désagrège. Il n'est pas rare de le voir se balader pieds nus. Vu qu'il n'est pas spécialement frileux, il en profite. Il a les pieds dégueulasses du coup, mais ça aussi, il s'en tamponne. Par contre, il n'est pas non plus rare de voir Lancelot adopté en un style plus "milicien" quand le besoin de rappeler son rôle au sein du quartier se fait sentir. Le seul truc qui le rattache à son style moyenâgeux, c'est l'épée. Il porte une double ceinture de cuir, l'une pour tenir son fut' en place, normal, l'autre pour porter le fourreau de son épée longue contre sa cuisse gauche et, bien sûr, la lame qui va avec. Très brillante, très coupante, très séduisante. Il l'aime, cette épée. C'est son once d'orgueil à lui.

Si vous avez envie d'aller bouffer du Lancelot pour le dîner, le complimenter sur son physique est inutile, il vous reste plus qu'à être inventif. Il sait à quoi il ressemble, merci.

Tales of knights and swords, wars and gods.


Elle n'aurait pu rêver mieux. Le Seigneur avait répondu à ses prières les plus intimes, lui permettant à son tour de connaître la joie et le bonheur de devenir parent, la fierté et l'allégresse de voir un enfant grandir pour prendre son envol. Elle aime à penser que son fils a été posé là, sur son chemin, spécialement pour elle. Dieu souhaitait qu'elle se rende dans Brocéliande ce jour précis, à ce moment précis, pour qu'elle puisse entendre les pleurs du nourrisson abandonné sur la rive du lac, elle en est persuadée. Elle ignore encore ses origines royales. Elle ignore que c'est le roi Bane lui même qui ordonna que l'on se débarrasse de son fils nouveau-né au cœur des bois. Elle, elle l'adore, le chérit et l'aime comme s'il était le sien. Plus qu'un simple fils adoptif, elle voit en lui un signe, un événement, un éclat. Quelque chose de grand se prépare et son fils y jouera, c'est certain. Dieu aura des projets pour lui et il s'aura être à la hauteur de ce que le Seigneur attend de lui car elle aura été là pour l'élever dans la foi et l'amour du divin, elle en est certaine.
Elle l'observe se débattre avec son sac de voyage trop grand, la sangle trop longue faisant presque traîner la besace sur le sol alors que l'enfant, du haut de ces sept années, se dresse sur la pointe des pieds pour mieux voir la route depuis la fenêtre. Elle regarde son jeune fils, ses cheveux pâles qui lui tombent dans les yeux et sur les épaules, percevant l'excitation fébrile de l'enfant. Pour lui, c'est le début d'une aventure mystérieuse et exaltante. Il ignore tout de ce qui l'attend, de ce qu'il fera, d'où il ira. Elle, elle le sait. Elle a longtemps prié pour ce moment.

L'enfant se redresse soudain en poussant un cri de joie alors que l'écho d'une course de sabots commence à se faire entendre. Déséquilibré par son sac, il s'avance en tanguant jusqu'à la porte, l'ouvrant à toute vitesse pour s'avancer au dehors et mieux voir venir les deux cavaliers. Elle le suit jusqu'au petit portillon qui délimite la route de campagne de leur petit jardin et pose une main sur sa tête, caressant les cheveux emmêlés. Le bruit des sabots résonne dans le petit hameau d'une demi douzaine de maison et de fermes, faisant apparaître quelques têtes curieuses aux fenêtres.
Les deux cavaliers ralentissent puis s'arrêtent à côté de la barrière sommaire faisant le tour de la maison. Le plus massif des deux hommes met pied à terre et s'avance à la rencontre de la mère et de son fils, les saluant sobrement mais chaleureusement.

- Chère Viviane, ce petit grandit bien trop vite, je me demande avec quoi vous le nourrissez.
- Seulement la parole de Dieu et la foi, seigneur Blanc. Même si je pense que les légumes de ce bon Louis y sont aussi pour quelque chose.

Le seigneur rit et Viviane s'enquiert de la santé de son épouse et de ses enfants. Lancelot écoute d'une oreille distraite, trépignant d'impatience, observant le seigneur, puis les chevaux, puis le valet toujours en selle qui lui adresse un sourire amical, puis le seigneur, puis sa mère, puis les chevaux, puis, puis, puis.

Lancelot aime beaucoup le seigneur, même s'il l'aime beaucoup moins que sa mère, qu'il idolâtre presque, et beaucoup moins que Dieu, aussi. Il l'avait vu de nombreuses fois au cours des sept années de sa petite vie, alors que Blanc rendait visite à Viviane en toute amitié et afin de s'éloigner un peu de ses terres et de ses obligations, trouvant en la jeune femme pieuse une confidente idéale. Et Lancelot était le plus fervent des auditoires lorsque Blanc se décidait à lui raconter ses faits d'armes contre les Saxons et les bandits qui osaient s'attaquer à son domaine. Blanc a trois filles et un fils de l'âge de Lancelot. Blanc disait souvent que Lancelot et lui s'entendrait bien. Un jour, au détour de la conversation, Viviane laissa échapper que si tel était son avis, Lancelot serait très certainement ravi de faire sa connaissance et même de lui servir de fidèle camarade au cours de la formation de chevalier que le fils de Blanc ne manquerait pas de recevoir. Blanc trouva l'idée intéressante, et il n'en fallut pas plus pour que la chose soit décidé. Comme le voulait l'usage, et en tant qu'ami de la petite famille que composait Viviane et Lancelot, le seigneur Blanc prendrait le garçon comme page à ses sept ans, où son éducation commencera par l'apprentissage de l'équitation et de l'entretien d'un cheval d'une part, par l'entrainement à l'art du combat et de l'épée d'autre part.
Et voilà comment Lancelot se retrouve aujourd'hui debout, à son portillon, ses petites mains serrées autour de la bandoulière de sa besace, contenant quelques vêtements et jouets en bois que Viviane lui avait offerts, paré à monter en croupe derrière le valet pour aller se former au château des Blancs et devenir chevalier aux côtés d'Erimme, le fils du seigneur.

(En cours)
Si y'a le feu, lance l'eau. 988633Attilalien

Attila est quelqu'un que Lancelot respecte, fait assez rare pour être noté. Le chevalier sait qu'il peut avoir confiance en son supérieur et, même s'il n'obéit jamais vraiment à qui que ce soit depuis sa chute aux Enfers, il lui est loyal et dévoué.
Si y'a le feu, lance l'eau. 1421504210-ezgif-com-crop

Ca viendrait à l'idée de personne de remplir une baignoire d'essence, d'entrer dedans, puis d'y jeter une allumette, pas vrai ? Jack, c'est l'essence. Lancelot, c'est l'allumette. L'explosion qui souffle la salle de bain, la moitié de la baraque et crame le jardin du voisin, c'est ce qu'il se passe dès qu'on les laisse plus de deux minutes dans la même pièce.
Si y'a le feu, lance l'eau. 236761smilerose

LIEN N°3 - DEUX LIENS OBLIGATOIRES MINIMUM PAR PERSONNE : Ennemis ? Amis ? Une classe que vous ne pouvez pas voir ? Les hommes vous horripiles ? C'est ici que vous pouvez dire ce que vous pensez des autres. N'hésitez pas à contacter les autres joueurs par MP. Une galerie des avatars est disponible dans la fosse.
Si y'a le feu, lance l'eau. 236761smilerose

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PSEUDO
Chris.
AGE
21 ans.
AVATAR
Vincent (OC) - tinyred16
UN TRUC A DIRE ?
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Dernière édition par Lancelot G. D'Armorique le Jeu 5 Fév - 22:40, édité 6 fois
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Eve Eve
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MessageSujet: Re: Si y'a le feu, lance l'eau.   Si y'a le feu, lance l'eau. EmptyMer 7 Jan - 23:00

HELLCOME
En gros, en gras, en couleur, et ouais.


Haha. La petite blague du titre, j'aime.
Clairement enchanté de voir ce prédéfinis pris : Il est attachant et prometteur. Tout ce que j'aime. Et voir quelqu'un de sérieux le prendre, c'était tout ce que je pouvais lui souhaiter.

Donc si tu as besoin d'un conseil, qu'on t'oriente, que tu as un quelconque doute sur le forum, le personnage, ou la sexualité des mollusques au Zimbabwe du nord, le staff est à ton entière disposition ! Pareillement, si tu cherche d'autres liens, n'hésites surtout pas à contacter les membres via MP, à les chopper sur la box ou même de poster dans le flood un petit message pour te vendre. Ou alors vient me voir, une belle gosse dans ses liens ça fait toujours vendre. Surtout que ça pourrait être intéressant compte tenu du lien que j'ai actuellement avec Attila :p

Bref bref bref, bisous bisous sur tes fesses.
Bonne continuation et n'hésites pas à passer sur nos boites à MP ;)
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https://cantata-mortis.forumactif.org/






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MessageSujet: Re: Si y'a le feu, lance l'eau.   Si y'a le feu, lance l'eau. EmptyJeu 8 Jan - 9:52

Bienvenue ! :3

T'as pas besoin de te vendre, je t'ai déjà acheté (genre depuis longtemps) AQA
Bonne continuation pour ta fiche *câlin de la colère*
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MessageSujet: Re: Si y'a le feu, lance l'eau.   Si y'a le feu, lance l'eau. EmptyJeu 8 Jan - 23:38

Awque merci vous deux. :keurkeur:

Eve, j'ai définitivement des questions à propos de ces mollusques de Zimbabwe du Nord, va falloir qu'on en discute, ça me perturbe énormément et et et. Mollusques quoi. C'est la famille un peu. *est une vraie larve, sisi, pour du vrai*.

Papattila m'a fait un câlin. PAPATTILA M'A FAIT UN CÂLIN, HAHAHA. Ceb, j'peux crever en paix. *Haaaallelujah*

Vous inquiétez pas chefs, le temps de me concentrer sur l'histoire et je m'en vais sur mon fidèle destrier pour vous harceler de MP débordants d'amour et de photos de Lancelot en armure bikini, histoire de réussir les ventes.

Luv sur vos fessiers.
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Si y'a le feu, lance l'eau.

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