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 Attila Dengizich, Général fou furieux.

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MessageSujet: Attila Dengizich, Général fou furieux.   Attila Dengizich, Général fou furieux. EmptySam 16 Aoû - 15:55



YOU !


Date du décès
An 453

Cause de la mort
Hémorragie nasale, mort étouffé dans un mélange de sang/morve. La grande classe.

Péché
Colère

Nationalité
Né dans les plaines Danubiennes qui se trouvent dans la Hongrie actuelle.

Prénom(s) & nom
Attila Dengizich

Âge d'apparence
Un peu plus de la trentaine.

Profession
Général de la Milice.

Signe(s) distinctif(s)
Une grande cicatrice lui barre le visage, coupe de cheveux non homologué, taré ?

Pouvoir
Attila contrôle la température comme bon lui semble. Son quartier vit avec les humeurs du Général. Si vous sortez de chez vous et qu'il fait 90° c'est qu'il est -peut être- dans un mauvais jour. Qu'importe l'heure ou la saison la température n'est jamais au beau fixe. Incendie comme grêlons de la taille des balles de tennis peuvent surgir à tous moments.


What's the fuck is wrong with you ?!


Attila ... Parfois le seul fait de prononcer ce nom suffit à en effrayer plus d'un. Le grand, le féroce Attila. Tout le monde le connais, évidemment. Mais rare sont ceux qui ont pu réellement lui faire face. Attila, fait peur. Il met de manière générale les gens mal à l'aise.

La plupart des gens vous le décriront comme un fou furieux, un homme sans foi ni loi qui ne suit que ses propres règles. Celles de la violence et de la colère. Et ils auront bien raison. Attila n'est pas ce qu'on pourrait appeler un homme avec un esprit sain. Le peu de bon sens qu'il lui restait quand il a mis les pieds en Enfers à déserté le camps depuis bien longtemps. Si on émet l'hypothèse qu'un jour il eut possédé une quelque sorte de bonté d'esprit.

Le général de la milice n'est qu'une boule de colère à moitié dingue. Une haine, une colère ardente le consume constamment. Déversant son animosité par flots quand ça lui prend. Dans ces moments l'homme ce fiche bien de qui il peut avoir en face de lui. Tant qu'il peut rabaisser, aboyer et détruire il le fera. Histoire de le calmer un peu, ce qui ne marche jamais bien évidement. Personne n'arrive à le cerner, sa personnalité tellement instable empêche toutes anticipations sur ses actes, ses paroles. Une fois il ravagera tout sur son passage mettant les bureaux de la milice à sac, brisant tout sur son passage sans distinction d'objets ou d'homme. Une autre fois une colère froide s'emparera de lui, on le retrouvera alors déambulant dans les rues, fumant des paquets de cigarettes entiers, se contentant d'écraser ses mégots encore fumants sur les passants dans un rictus venimeux.

C'est un homme fou, un animal sauvage introduit dans une ville grouillante. Il est impulsif, arrogant, égoïste et emporte partout avec lui cette fierté écrasante, envahissante. Mais il faut bien reconnaître qu'il mène d'une main de fer la milice et que les écarts dans son quartier son quasi-inexistant. Pour les petits malins qui veulent se la jouer rebelle en foutant la merde, il leur réserve un traitement tout spécialement pour eux. La torture, son occupation favorite. Attila est un peu le Mac Gayver de la torture, il pourra vous faire sombrer un homme dans la folie pure, ou lui faire avouer tout ce qu'il souhaite rien qu'avec un bout de pâte à fixe et un stylo. Le Huns aime punir, aime faire souffrir ceux qui ose troubler l'ordre public instauré. C'est un être sanguinaire et barbare.

Mais quand il n'est pas occupé à faire brûler des bâtiments sous une colère aussi soudaine que folle, ou qu'il ne torture pas de pauvres hommes qui eurent le malheur de passer entre ses mains il lui arrive d'avoir des moments de calme. Des brides de langueurs insoupçonnées, ou tout le quartier flotte dans une torpeur bien mérité. La douceur avant une énième tempête dévastatrice. Un de ces moments ou le quartier entier se demande ce qu'il se passe. Dans ces moments aussi reposants qu'étranges Attila semble s'être évaporé dans la nature. Personne ne sait ou il se trouve, pas même Lancelot qui se retrouve couvert de questions. Mais ce n'est pas comme si quelqu'un allait partir à sa recherche, faut pas déconner.

Mais même lors de ses absences, il flotte dans le quartier un climat lourd, un climat de peur perpétuelle. La peur qu'il resurgisse à chaque instant, encore plus dément qu'avant. Qu'il vous agrippe au coin d'une rue pour vous faire embarquer dans les sous-sols de la milice. Au final peut être bien que les habitants préfèrent sa présence terrifiante à son absence encore plus angoissante.

Ce qu'il y a d'étrange avec Attila c'est son comportement avec les femmes. Misogyne et machiste incontesté il voit les femmes comme de petites choses fragiles. Pour lui ce sont des êtres faibles et il est clair que les hommes leur sont supérieur. Si de son vivant elles s'offraient à lui et à ses moindres désirs en un claquement de doigts, il s'est confronté à beaucoup plus de résistance en Enfers ce qui le frustre un peu beaucoup.

Même si on reconnait fort bien que depuis qu'il est mort son agressivité et sa folie vont crescendo, personne ne l'as jamais vu frapper une femme. On ne dit pas que cela n'a jamais pu arriver mais, en tous cas il se garde bien de le faire en public si cela survient. En faite Attila aime flatter son ego lorsqu'il se bat, lorsqu'il fait mal. On ne frappe pas une chose qui est si faible. Les femmes et les animaux pas touche -sauf les chiens qui sont justes des saloperies sur patte selon lui- . Une valeur qui ne colle carrément pas avec ses principes barbares. C'est un peu le seul truc qui le rend pas totalement sadique et horrible envers les autres. Il arbore toujours une retenue envers elle. Même si des fois on voit bien qu'il a du mal, qu'il laisse échapper des gestes bien trop brusques et un sourire bien trop carnassier envers elles. On ne renie pas non plus toutes sa nature pour une paire de seins. Et puis il faut bien avouer que la plupart d'entre elles sont sacrément chiantes et qu'un petit séjour dans les cachots de la milice le feraient un grand bien.


Ashes to ashes, dust to dust...


Il fut un temps ou Attila aurait été qualifié de petit homme trapu au regard noir. Un petit bouledogue furieux qui fonçait sur tout ce qui avait le malheur de passer à sa portée. Au fil des années, des siècles, le physique d'Attila à subit de nombreux changements, métamorphoses. Mais si il y a bien une chose qui n'a jamais changé c'est son regard. Il faut bien avouer que c'est la première chose qui frappe chez lui (avec sa main dans votre gueule). Un regard noir, un regard d'acier qui vous poignarde à la première occasion. Une étrange lueur brille dans ses prunelles noires virant au rouge sang par moment, quelque chose d'infiniment sauvage, une étincelle insondable qui danse depuis toujours en lui. Une cicatrice imposante barre son visage du côté droit, donnant au personnage un air sauvage, primitif. Personne ne sait exactement qui ou quoi à lacérer son visage de la sorte, de toute façon tout le monde à bien trop peur de lui poser la question.

Malgré ce que pourrait penser la majorité des gens, Attila prends un minimum soin de lui. Sa barbe est toujours taillée impeccablement, un bouc grossier qui lui sied à merveille. Ses cheveux sont un mélange étrange de plusieurs coiffures, bien qu'en général il change régulièrement de coupe de cheveux vacillant d'un extrême à l'autre, entre crête iroquoise et cheveux longs. Les prouesses des coiffeurs de l'enfers ne sont plus à prouver. D'une façon générale les traits d'Attila sont grossiers, brutal, presque bestial.

L'homme dégage une force indomptable qui impose le respect par sa seule présence. Quand on l'aperçoit on sait, on sent que ce n'est pas le genre de mec qu'il faut faire chier. Bien que pas très grand il se rattrape sur son écrasante carrure. Tout en muscles, Attila expose souvent son torse à la vu de tous ne portant qu'en ample pantalon de toile et plusieurs grigris/bijoux. Il n'est nullement là question de coquetterie, le Hun pense toujours que certains bijoux peuvent lui apporter des bénéfices spirituels pour ses combats à venir. Il ne se sépare jamais de sa dague, aux yeux des autres un bout de métal en état un peu miteux, pour lui son arme fétiche, la dernière chose qui le relit à sa gloire passée, son porte bonheur en quelque sorte.

Autre point non négligeable, le général aime beaucoup les tatouages et les piercings et il en possède plusieurs. Pour lui c'est une manière de s'affirmer mais aussi d'exposer aux autres le valeureux guerrier qu'il est. Ses tatouages montrent au monde les victoires qu'il a pu mener, sa puissance, son autorité, ses gallons en tant que général de la milice etc.

Tell me a funny fucking story.


VIE ANTÉRIEURE


Une fumée âpre et dense se distillait dans le ciel, le soleil se couchait lentement et des cris résonnaient au loin. Attila était presque satisfait. En un après-midi ils avaient réussi à saccager, piller et brûler un village tout entier. Tout y était passé, provisions, hommes, femmes, habitations, animaux, armes etc. Si l'un n'avait pas été volé, il était brûlé. Une bien dure loi, mais qui faisait son effet auprès de ses adversaires. Attila émit un sourire quand il vit passer devant lui ses hommes qui transportaient les dernières choses utiles qu'ils avaient dérobés. Il lança un dernier regard au village, ignorant royalement les veuves et les enfants qui sanglotaient dans l'enceinte du hameau. Qu'ils se réjouissent de ne pas avoir été fait esclaves, qu'ils soit ravi de respirer pour raconter au monde la gloire du seul roi des Huns !

Le roi remonta sur son cheval et suivi de son armée, repris la route. Ils chevauchèrent une bonne partie de la soirée, s'éloignant le plus possible de cette odeur de cochon grillé qui avait englobé le village entier. Il décida de s'arrêter dormir sur une colline qui surplombait la vallée qu'ils venaient de traverser. Il ordonna sèchement que les tentes soient montées le plus rapidement possible. Ce qui fut chose faite sans un mot de contestation. Ceux qui avaient osée le contredire n'étaient plus là pour en parler. Tous ses hommes le suivaient aveuglément. Si au début il y a eu quelques réticentes Attila les avaient toutes balayées au fil de ses impitoyables conquêtes. Il chérissait son statut d'homme craint, il adorait voir les peuples se prosterner devant lui, courber l'échine sous la menace, sous les coups incessants. C'était ainsi, c'était son destin. Il était le fléau de dieux, il châtiait tous ceux qui s'imposait contre lui, le magnifique, le glorieux roi des Huns.

Rien ni personne ne l'arrêterait, il aurait le monde entiers à lui, servi sur un plateau d'argent. Son nom sera connu dans le monde entier. Plus jamais personne n'osera le traiter de mioche peureux, d'aliéné. Il avait conduit son peuple à la consécration, eux qui n'étaient que de simples paysans étaient désormais à la solde du plus grand roi ! Ils constituaient la lie de tous les empires, chevauchant inlassablement, maniant l'arc comme personne. Ne laissant qu'un sillon sanglant et brûlant sur leurs passages.

Il était très tard dans la nuit quand Ildico vêtu de sa plus belle robe traversa le camp à la recherche de la somptueuse tente d'Attila. Seul les gardes de nuits étaient réveillés. Elle entendait au loin leurs conversations, visant le roi lui-même. Des rumeurs couraient, des rumeurs qui se répandaient rapidement. On disait que le roi n'était plus lui-même, qu'il divaguait, devenait égocentrique, ne pensait plus à son peuple mais, au nombre de pays qu'il pourrait assouvir. Ildico baissa la tête feignant de ne rien entendre. Même si elle devait reconnaître que depuis qu'Attila avait soumis Rome il commençait sérieusement à débloquer. Elle atteignit en quelques rapides enjambées la tente. Elle remit de l'ordre dans ses cheveux et pénétra avec précaution dans la chaleur de l'habitacle.

Ildico avait subi un mariage arrangée avec le "somptueux" roi. Sa main contre la survie de sa nation. Elle n'avait pas vraiment eut le choix. Elle voyageait donc depuis peu avec le Huns et déjà ses yeux éprouvaient d'immenses cernes devant toutes les horreurs qu'elle avait vue. Plus d'une fois elle avait retenue des hauts le cœur, feignant un air indifférent devant les villages brûlés, les corps meurtris, les orphelins asservis. Dans ces moments-là, Attila se contentait de la regarder avec un regard empli de mépris et de pitié. Parfois il lui effleurait la joue et lui disait simplement "C'est ça la guerre". Un des rares moments ou elle le trouvait humain. Elle ne l'aimait pas, trop de violence, de colère, de haine concentrée dans un si petit corps. Elle ne comprenait tout simplement pas. Mais quelques fois il savait se montrer si inoffensif avec elle, si ... accessible. C'était curieux mais, elle se surprenait à éprouver de la tendresse pour lui, pour ce chien enragé qu'elle ne parviendrait sans doute jamais à dresser.

Elle releva les yeux et le vit, assit sur un lit de peaux occupé à lire elle ne sait quelle carte, à prévoir quelques massacres pour les journées à venir. Il l'invita sans un mot à venir s’asseoir à ses côtés. De nombreuses bougies étaient allumées, aujourd'hui était un jour important. Leur nuit de noce commençait, un peu tard certes mais la conquête n'attendais pas ! Ce fut doux, bien plus doux que tout ce qu'elle aurait pu imaginer. Elle qui se voyait déjà en larme, abandonnée au milieu des draps dès l'aube. Elle s'endormi sereine au creux de ses bras.

C'est la brise matinal qui perçait à travers les pans de la tente qui la réveilla. Elle ouvrit lentement ses yeux pour se sentir soudainement glacée. Un froid mordant qui s'empara d'elle en un instant. Elle chercha quelques secondes la chaleur corporelle d'Attila avant de comprendre que c'était lui-même qui dégageait ce froid mordant. Elle se retira vivement de la couche pour découvrir de ses grands yeux le visage embourbé de sang du roi des Huns. Elle s’avança doucement, le touchant d'abord timidement, puis elle le secoua vivement, pour finir par comprendre qu'il ne se réveillerait pas. Elle ne cria pas, se contenta de se rhabiller, de sécher la larme qui perlait au coin de son œil et d'aller prévenir ses hommes.




PRÉSENT
Attila ouvrit brusquement les yeux. Une lumière forte et artificielle lui frappa la rétine. Il grogna et plongea dans un geste sans queue ni tête sous sa couette. Au bout d'une demi-heure il finit par se tirer de son lit en se disait que s'il continuait il finirait comme tous ceux qui arpentaient le quartier de la paresse. Il pensa quelques secondes à Caliban avant de mimer une expression de dégoût tout en s'habillant d'un de ses éternel pantalon en toile.

Il se présenta rapidement à son bureau à la milice histoire de faire acte de présence. De toute façon il savait pertinemment qu'il aurait pu ce la couler douce des jours entiers. Personne n'aurait rien osé dire et son fidèle Lancelot aurait pris les rênes sans un mot. Mais Attila était un homme de parole. Il avait conclu un marché avec Lucifer et il comptait bien s'y tenir. Avec application, avec cette fierté qui le caractérisait tant.

Il avait beaucoup de dossier à traiter. Des pilles entières. Il murmura un « putain de paperasse à la con». Avant de tout jeter négligemment sur le bureau de Lancelot. Comme s'il avait une gueule à rester des heures à lire des trucs qui ne l'intéressait même pas. Les mains dans les poches il décida d'aller faire un tour de son quartier, histoire d'imposer sa présence. Il ne vivait pas dans le plus facile des quartiers et si on ne montrait pas constamment aux habitants qui était aux commandes c'était la débandade totale. Le quartier de la Colère c'était un peu le rendez-vous de fous furieux, la place public des psychopathes. Mais ça c'était avant. Avant qu'il soit nommé général. Il aimait dominer son petit monde, avoir l’œil partout grâce à toutes ses caméras, ses sentinelles postées à chaque ruelle. Il regardait avec bonheur ses grands étendards rouges sang flotter au vent. Il y avait toujours une brise légèrement agressive dans le quartier. Il voulait, il fallait que ses drapeaux virevoltent au vent, comme si ils avaient le pouvoir de semer les graines de l'ordre.

Il lança des regards obscurs aux personnes qu'il croisait, tous baissèrent les yeux instantanément. Encore devant les gardes quelques-uns osaient faire les malins, mais avec Attila plus question de rigoler. Tout le monde savait de quoi il était capable. Tout le monde entendait les rumeurs. La plupart étaient infondées mais, personne n'arrivait vraiment à démêler le vrai du faux de ce qu'ils entendaient. Il se disait qu'il s'attachait ses décorations de général à même la peau, qu'une fois sous l'effet de la colère il avait dévoré un enfant, qu'il tuait les officiers qui se présentaient en retard, qu'il avait mis le feu à toute un pan du quartier parce qu'un soldat lui avait rapporté un repas trop froid. Des tonnes de propos faux ou exagérés circulaient à son sujet. Certaines rumeurs étaient belles et bien vraies, comme celle qui veut qu'il utilise des techniques de tortures particulièrement horribles et datant d'une époque très lointaine -dans l'impossibilité d'user la mort comme menace, autant utiliser la douleur- mais les rumeurs vraies constituaient un faible pourcentage. Et c'est sur un ramassis d'exagérations que le général de la milice s'est forgé cette réputation de démon colérique et impitoyable.

Quand il ne croisa plus personne dans les rues, il se décida à rentrer à la milice, le bâtiment s'hérissait devant lui, terrifiante construction de métal. Il s'engouffra dedans d'un pas rapide et bourru, les mains dans les poches et se dirigea dans les sous-sols du bâtiment, d'ou s'échappait quelques cris d'agonie terrifiants...

Une journée de travail banal l'attendait.

Quant à Lucifer, même si il ne se présente pas au poste en ce moment Attila est persuadé qu'il les surveillent étroitement tous autant qu'il sont. Il n'en fait pas trop cas, Attila pense que le Diable ne désertera pas l'Enfer, même si parfois il doute légèrement. Après tout cela fait un bon moment que personne ne l'as vu !
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Lancelot G. D'Armorique :Attila apprécie Lancelot, il doit sans doute considérer que c'est une des rare personne en qui il peut avoir confiance. Et ce petit fait merveilleusement bien son boulot.
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Nessie L. Galloway : Cette agaçante petite Nessie... Pire qu'une maladie qui pourrait le ronger, il la déteste mais voit en elle du potentiel dont il pourrait se servir. Quand elle l'agace trop il lui arrive de geler son lac. Ou au contraire parfois il se montre aimable en lui balançant un ou deux corps dans les eaux, pour s'en débarrasser. Mais il n'éprouve qu'haine et agacement envers elle.
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Alissa Marlon: Aux yeux d'Attila, Alissa n'est qu'un insecte qui n'as sa place nulle part. Il déteste ses manières et aussi il a un peu peur qu'elle découvre qu'il possède un tout mignon lapin nain dans ses appartements. Ça ferait un peu désordre.
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Jason K. Ellis:Toi, fait gaffe à ton cul Un soldat qui joue les rebelles, mais ça ne durera pas longtemps. Attila garde Jason à l'oeil et n'hésitera pas à s'en servir comme bouc émissaire ou chair à canon au premier moment venue. C'est lui le chef ici, bordel !

PSEUDO
Linou
AGE
Blblbl
AVATAR
jsais pu
UN TRUC A DIRE ?
LOVE U


Dernière édition par Attila Dengizich le Mar 23 Déc - 0:25, édité 16 fois
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Eve Eve
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MessageSujet: Re: Attila Dengizich, Général fou furieux.   Attila Dengizich, Général fou furieux. EmptyDim 17 Aoû - 1:57

ATTILAAAAAA !! :D *L'embrasse de la tête aux pieds* Si tu savais comme je suis heureuse Q.Q Bref, je pourrais pas te gratifier d'un Hellcome pour le coup var je suis sur téléphone, mais des que j'en aurais l'occasion tu en auras un beau, promis <3

Bienvenue en enfer, j'ai hâte de lire ta fiche ~
Si tu as la moindre question sur le prédéfinis ou le forum, hésites pas surtout, ma boite a MP est ouverte :)
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MessageSujet: Re: Attila Dengizich, Général fou furieux.   Attila Dengizich, Général fou furieux. EmptyDim 17 Aoû - 12:03

Je passe après Eve et sa belle signature pour te souhaiter la bienvenue, Cher Fléau de Dieu! Puisse les Enfers t'être agréable ~ Sincèrement, ça fait plaisir de voir notre Attila trouver preneur, on l'attendait depuis un petit moment celui-là :3 Surtout, si tu as la moindre question, n'hésite pas à la poser ici, ou à nous contacter par Mp, on se fera une joie de t'aider et d'y répondre. Bon Courage! :D
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MessageSujet: Re: Attila Dengizich, Général fou furieux.   Attila Dengizich, Général fou furieux. EmptyDim 17 Aoû - 14:40

Comme je le dit toujours, les Prédefs c'est le Bien ! Bienvenue parmi les Slenders les plus badassss de l'enfer x)
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MessageSujet: Re: Attila Dengizich, Général fou furieux.   Attila Dengizich, Général fou furieux. EmptyJeu 28 Aoû - 10:23


Merciii pour vos gentils messages :3
Je pense que j'ai fini ma fiche. J'espère qu'elle vous conviendra. J'ai bien saisie le personnage, mais bon c'est toujours difficile de tout retranscrire par écrit ._.
Parce que j'ai pas voulut faire non plus un gros cliché de je suis vénère 7/7 et je défonce toujours tout donc je sais pas si tout sera à la hauteur de vos attentes.

Des bisous quand même ♥

Ps: ne me jetez pas trop de gros cailloux svp ;_;
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Caliban Caliban
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MessageSujet: Re: Attila Dengizich, Général fou furieux.   Attila Dengizich, Général fou furieux. EmptySam 30 Aoû - 10:05

Je crois qu'il ne manquais plus que moi pour te souhaiter la bienvenue '^'
Alors :

Smoky'Come
Bienvenue en Enfer, Monster.
Pour l'occaz, je t'offre un joint sous une pluie de gravier~

Après concertation avec les autres membres staffien qui sont en vacances (on a remué ciel et terre bordel !) C'est tout bon ! Et j'aime beaucoup ton style attilien.

Laisse moi jute m'occuper de la paperasserie et tu pourras bientôt errer sur nos terre en toute liberté !

N.B: je kiff Mushu =3=

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Minos Minos
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MessageSujet: Re: Attila Dengizich, Général fou furieux.   Attila Dengizich, Général fou furieux. EmptySam 30 Aoû - 10:31

• • • • GENERAL OF BITTERNESS • • Bête de colère, monstre de haine, tu dévastes tout sur ton passage en moins de temps qu'il faut pour le dire. Tu t'attires la crainte, le respect, la haine de tes semblables sans pour autant en être affecté.
Le grand Lucifer t'a accordé le plus beau métier qui puisse exister en ce bas monde.
Sers-le comme tu as servi ton pays et ta grandeur ne cessera de croitre dans les rues de l'Enfer.
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