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 Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]

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Invité

MessageSujet: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptyDim 8 Juin - 20:37

Identité
Date du décès - Le 15 aout en l'an de grâce 1057
Cause de la mort - Un duel à mort, dont il n'a plus le souvenir.
Nationalité - Écossais
Prénom Nom - Macbeth ou plus simplement Mac. Il provient de son nom complet ( Mac Bethad mac Findlaích )
Age d'apparence - 25 années, dans la pleine fleur de l'age
Profession - Larbin et Secrétaire de Caliban
Signe Distinctif - Peu de chose en vérité si ce n'est la couleur de ses cheveux ainsi que de ses yeux.
Pouvoirs - Macbeth est capable d'altérer son apparence physique à volonté, que ce soit en partie ou totalement et aussi longtemps qu'il le désire. Cela étant, il doit se cantonner à des formes humaines sans être en mesure d'en modifier la pigmentation de la peau, des cheveux ou des yeux. Véritable transformation anatomique, elle n'est guère agréable et la difficulté du détail qu'elle requiert rend tout changement méconnu presque impossible ou plutôt dangereux. Cela impose à Macbeth de prévoir ses apparences à l'avance tout en limitant par la même leurs variations. Il se doit également de prévoir des vêtements adapter à sa nouvelle apparence. Cependant, cette précision le rend en mesure de perfectionner totalement sa physiologie, ce qui a pour conséquence de lui permettre d'accomplir des prouesses physiques ou sensorielles étonnante normalement réservés aux humains d'exceptions. Comme tout slender, Macbeth n'est guère en mesure d'en user en dehors des limites du son quartier, bien qu'il conserve toutes les caractéristiques de sa dernière transformation.

Caractère
What's the fuck is wrong with you ?!

Un homme mystérieux, nonchalant et calme accentué par une certaine forme d'acédie, voila qui saurait résumé très brièvement ce cher Macbeth. Un constat pouvant paraitre des plus étranges compte tenu du tempérament de feu réputé des rouquins. Et vous auriez parfaitement raison, ou du moins en partie. Ne vous fiez pas à ce premier semblant, car en dépit de cette attitude pour la moins mollassonne, Macbeth se révèle d'une finalité particulièrement méthodique, ordonnée et droite dans ses faits et gestes. Avec le temps, on le découvre alors d'un caractère à la fois impassible, calculateur et surtout loyal même si il peut s'avérer une vrai tête de mule. Des qualités qui semblent combler les attentes Caliban, son seul et unique boss. C'est sans nul doute pour cela qu'il n'a pas cherché à s'en séparer jusqu’à maintenant. En plus d'être son boss, il est surement l'un des seuls à être en mesure de le raisonner et de lui faire entendre raison.

Dans le fond, Macbeth n'en reste pas moins quelqu'un de très simple et de facile à vivre. Très obéissant, pratiquement soumis à Caliban, il semble absent de toute forme d'égo ou de besoins. Le pouvoir, les biens, ni même l'argent ne semblent aiguisé vraiment son attention. C'est un grand pacifiste, qui évite autant que possible la violence physique qui lui apporte un certain mal être. Bien qu'il apprécie la présence du sexe opposé, il leur voue une certaine méfiance qu'il ne s'explique pas. Seul son travail et son exécution semble véritablement le prendre à cœur. De manière générale, il se contente d'apprécier les petits riens que le temps veut bien lui offrir. Notons qu'il aime énormément les chewing-gums ainsi que les sucreries, au point qu'il a souvent quelque chose à mâchouiller entre ses dents. Son plus grand passe-temps reste assurément la lecture et plus particulièrement la satisfaction qu'il tire à tourner les pages et à en sentir l'odeur qu'elles dégagent. Il est en effet animé d'une grande curiosité qui couplé à son excellente mémoire, lui a permis d'accumuler un certain nombres de connaissances. A cette fin, il privilégie le calme et l'isolation, souvent agrémenté de musiques classiques ou d'ambiances.

En extérieur, il se fait bien volontiers le rôle de l'observateur, le regard perdu dans des réflexions connues uniquement de lui même. Ses lectures l'ont fait porter un intérêt tout particulier en la nature humaine. De ce fait, il n'est pas rare de le voir errer tout en scrutant la population locale allant et venant à leurs propres occupations. Sa discrétion ajouté à sa capacité de Slender, lui ont donné le rôle du parfait petit espion et l'ont mené à adopter plusieurs identités différentes au sein du quartier de la Paresse, l'oreille et le regard toujours à l'affut. Macbeth est également profondément altruiste, au point qu'il peut lui arriver de prendre à cœur des choses qui, en définitive, ne le concerne pas. C'est d'autant plus vrai lorsque l'éthique est concernée, faisant lui voué une aversion toute particulière des excès et des extrémités qui sont menu-courants en ce monde. C'est le cas par exemple des droguées dans son quartier qu'il méprise tout autant qu'il en a pitié. A ce sujet, il reste assez sensible à l'alcool et aux drogues et il lui suffit d'assez peu pour y succomber.

Vous l'aurez compris, en comparaison aux habitants des Enfers, Macbeth pourrait presque être qualifié d'ange, tellement il semble si peu corrompu. La raison est pourtant évidente, cette personnalité n'est qu'un miroir opposé dissimulant une partie de lui même bien plus fragile et sombre. Comme beaucoup d'arrivants ici bas, Macbeth a décidé d'oublier son lourd passé qui n'a laissé que sang, pleur, déchéance et mort. Cependant, s'il n'en a plus le souvenir, le monstre qu'il a été jadis n'a jamais véritablement disparu, restant insidieusement dans un recoin isolé de son esprit. Ce qu'il a été par le passé, Macbeth le rejette inconsciemment. Sa vie antérieure est un sujet tabou qui peut vite le rendre irascible envers qui cherche a le lui rappeler. Ses nuits sont régulièrement agitées, par des sons et des images d’outre-tombe qui viennent le tourmenter. Bien que rare, il lui est deja arrivé de subir des réminiscences de cette vie en rapport à des actions présentes, rappelant momentanément le Macbeth qu'il était. Un individu, particulièrement fou, violent, sanguinaire, paranoïaque et ivre de pouvoir. Mais c'est auprès de Caliban qu'il a trouvé son propre salut. Ce dernier lui assure depuis ce temps l'oubli des brides du passé qui lui reviennent et le tourmentent. C'est donc parce qu'il lui a apporté la stabilité que Macbeth s'est de lui même mis à son service, pour le meilleur comme pour le pire.

Physique
Ashes to ashes, dust to dust...

Difficile de ne pas remarquer le contraste saisissant qu'offre le spectacle de la chevelure de braise et des yeux azurés qu'arborent ce jeune homme. Trônant du haut de son mètre quatre vingt sept, on ne saurait se défaire de son regard profondément apathique. Et lorsque ce dernier toise, il ne se contente pas de fixer les yeux, il le perçoit toujours dans son ensemble, comme cherchant à y découvrir toutes ses vérités cachés. Ni gène, ni satisfaction particulière n'est inspiré à son contact, si ce n'est peut être un sentiment étrange. Ajouté à cela ce calme et cette passivité qui le caractérise et l'on ne peut que confirmer tout le coté mystérieux et complexe qu'il incarne. Son bien aimé maitre, Caliban est surement le seul a véritablement le connaitre, et encore, peut être pas autant qu'il le voudrait.

Physiquement, il est difficile de faire une description unique de Macbeth. Cependant, d'une manière générale, faisant largement la vingtaine passée, il possède un visage fin et plaisant, peu expressif et nonchalant. Un style qui semble ne pas laisser indifférente la gente féminine. Derrière ses vêtements se dissimulent une carrure à la fois athlétique et attrayante, presque idyllique aux yeux des grecs antiques. Malgré son air visiblement endormi, il révèle une gestuelle paradoxalement vive ainsi que des capacités insoupçonnées. En effet, en dépit de la charge de travail et les exigences de son Boss, les signes de fatigue semblent se faire bien rares. En dehors de cela, son style vestimentaire reste très variable. Cela va des amples vêtement accompagnés d'un masque à gaz avec les cheveux courts coiffés en bataille lorsqu'il marche en extérieur, au costume cintré typé italien avec les cheveux tirés en arrière lorsqu'il travaille au bureau de Caliban. Cette dernière lui offre d'ailleurs une prestance toute particulière qui a tendance a énervé son Boss. De plus, on n'a assez peu l'occasion de l'entendre, il préfère dans un premier temps s'exprimer par la gestuelle physique comme s'il cherchait à s'économiser, mais il se révèle d'une étonnante voix suave.

Outre cette apparence, il est en mesure de porter bien des visages, tous différents et pourtant plus semblables qu'il n'y parait. Cela peut être sous l'apparence d'un enfant, d'une femme ou d'un homme mur, bien qu'il ne semble guère s’évertuer à changer son attitude toujours aussi fidèle à lui même. Peut être l'avez surement deja croisé a votre insu sous l'apparence d'un masseur de la SPA ou en tant qu'une riche aristocrate du salon de thé ? Chacun présente cependant ces même cheveux flamboyants et ses yeux bleus similaires qui le caractérisent. Pourtant, ce n'est pas une habitude qu'il pratique autant que l'on pourrait l'imaginer et principalement lorsque cela est justifié. La première raison est que son travail pour Caliban lui accapare une grande partie de son temps - et c'est peu dire - ; la seconde raison est que ces transformations apportent des sensations guère plaisantes : les os claquent, les chairs se tendent et se resserrent, un peu comme si on vous compressait ou étirait. Aussi préfère t-il plus simplement se munir d'une capuche, d'un foulard ou d'un masque à gaz lorsqu'il s'agit de passer inaperçu.

Histoire
Tell me a funny fucking story.

I. Le fils prodige

Tout commença à l'époque du Moyen âge, plus précisément en l'an de grâce 1005 en Ecosse, appelé en ce temps, Alba. Alors qu'une paix relative s'était installée au sein du Royaume sous le règne du roi Malcolm II, sa fille Donalda d'Alba mariée au noble Findláech MacRory vint à mettre au monde le tout jeune Macbeth. En tant que rare fils de la famille en ligne directe avec le roi, beaucoup d'espoir reposait sur ce nouveau né. Malgré un climat de traitrise nourris par des rivalités intestines, l'enfant grandit pendant les d'années qui suivirent, au sein d'un cocon familial très aisé. Il apprit très tôt tout ce qu'un jeune noble se devait de savoir. En commençant par l'écriture, l'histoire, la philosophie, l'étiquette ou encore l'initiation à l'art de l'épée. Tout jeune garçon qu'il était, il se révéla d'un potentiel prometteur, alliant l'habilité à l’intelligence; du moins, si on faisait abstraction de l'impatience et l'impertinence juvénile. Toute cette période en ce lieu ne fut pas moins un des rares temps et lieu à prétendre à une vie saine et stable.

II. L'enfance précipitée

Pourtant, ce fut à l'age de ses 10 ans qu'un évènement tragique l'extirpa de l’insouciance de la jeunesse. Au cœur du château royal, un banquet fut préparer en l'honneur de l'anniversaire de sa majesté, invitant ainsi tout les bannerets et maisonnées à venir festoyer au banquet d'honneur. Macbeth ne ratant aucune occasion pour se divertir avec ses semblables, il partit trouver son père afin de vanter les derniers exploits dont il était si fier. Il bouscula alors un homme encapuchonné qui laissa une dague tomber à même le sol, ne lui permettant de distinguer de lui qu'un vague visage dans la pénombre. Ce dernier reprit alors vivement sa lame et déguerpit au plus vite. Encore naïf à son age, il était bien loin de relever autre chose que de la curiosité et de l'étonnement envers cet étranger. Suite à cela, lorsqu'il entra dans la chambre de son père, il n'y trouva qu'un corps raidi et sans vie baignant dans son propre sang. Incrédule et les mains tachés à essayer de le réveiller de son sommeil éternel, il partit trouver sa mère qui à la vue des mains tachés de sang de son fils fut prise de panique. Lorsqu'il observa sa mère pleurer son défunt mari, Macbeth ressentit pour la première fois cette infini tristesse : la douleur du manque d'un proche aimé.

Conscient désormais de la cruauté que pouvait recéler la vie, il partit en quête des vérités de ce monde. En tant qu'unique héritier de la famille, avec l'absence de son père et l'insoutenable surprotection de sa mère, Macbeth, futur Thane de Glamis, gagna rapidement en maturité et s’intéressa très tôt aux devoirs de la famille. Aux cours des quinze années qui suivirent, il découvrit la culpabilité de l'un de ses cousins dans l'assassinat de son père, Gille Comgáin. Un crime qui ne saurait rester impuni et qui convenait du châtiment adéquat. Pourtant, la vengeance pouvait attendre, il jugea préférable d'asseoir tut d'abord sa place et de chercher d'éventuels alliés. A sa majorité, en tant que jeune seigneur, il finit par gagner la tête d' une troupe de l'armée royale. S'il ne brillait pas par son charisme, son sens inné du terrain et de la tactique lui offrit rapidement la confiance de ses hommes. Ses exploits au sein des affrontements remontèrent jusqu'au roi pour y fortifier peu à peu sa réputation. Il se fit également un ami en particulier : Banquo, qui était du même age et tout aussi doué que lui.

III. Lady Macbeth

Son objectif atteint par une renommée grandissante de jours en jours, il s'intéressa alors à l'objet de sa vengeance : Gille Comgáin, son voisin et ennemi juré. Invité par bienséance dans l'hypocrisie aristocratique chez ce dernier, il dut faire face à quelque chose dont il ne s' attendit guère : la rencontre de son épouse, Lady Comgáin. Une femme comme on en voyait peu, pleine de fougue, ambitieuse mais surtout motivée par le pouvoir. D'une silhouette fluette, coiffée d'une crinière de feu avec un visage lisse et élégant où trônaient deux iris d'un profond vert émeraude, elle était femme d'une beauté étourdissante. Leur simple échange de regard suffit à Macbeth pour en oublier ce pourquoi il était venu. De son coté, elle ne pouvait nié son attrait pour lui, d'autant plus qu'il était un prétendant en pleine ascension. Cette attirance cachée se mua en un sentiment plus passionnel, pour devenir finalement des rencontres secrètes plus charnelles. Gruoch, savait comment lui parler et attiser sa flamme. Se faisant, Macbeth, mêlé entre amour et vengeance, précipita ses plans afin de se débarrasser de cet homme qui n'était devenu à ses yeux qu'un obstacle. Une nuit lors d'une sortie hors de son château, il lui tendit une embuscade. Après avoir obtenu des aveux par la torture, il apprit que l'assassinat de son père ne fut exécuter que sur la demande de Donnchad, un parent éloigné. Suite à cela, il l'enferma ainsi que ses hommes, au sein d'une vielle grange avant d'en mettre le feu. Brulé vif, il ne resta d'eux que de la chair calcinée avec pour seuls bijoux et atours en guise d'identification.

Malgré les circonstances de la mort, sans preuves existantes, ni suspect, la nouvelle gagna rapidement le royaume. Cependant, cela n'eut qu'un impact très relatif en vérité. L'époque était cruelle, notamment pour les hommes de pouvoir. Avec l'age avancée du Roi Malcom II, nombreux furent ses héritiers potentiels à périr de manières étranges. En tant que beau fils, le père de Macbeth en avait été un. De son coté, Comgáin sans héritier lui non plus, ne laissa derrière lui que sa femme, désormais veuve et détentrice de ses terres. Ce 15 juin 1032, libérée de son engagement, Macbeth eut alors tout le loisir de l'entretenir et quelques mois plus tard, de la faire sienne en demandant sa main. Portant désormais le nom de Lady Macbeth, Gruoch ne demanda jamais de justification de la part de son bien aimé, elle savait pertinemment qu'il était responsable du décès de son ancien mari, cependant, elle fut tout autant heureuse que comblée qu'il en ait été à aller jusque là rien que pour elle. Se complétant l'un et l'autre, il était la main, et elle, le cœur de leur union qui continua à s’épanouir avec les années qui suivirent.

IV. Les généraux d'Alba

Désormais gagné par la vieillesse par une santé fébrile, le roi Malcom II, sans véritable héritier, désigna Donnchad, l'un de ses derniers beaux fils encore en vie, en tant que successeur. En expirant son dernier souffle en l'an 1034, il permit à ce dernier d'être couronné roi sous le nom de Duncan Ier. Macbeth avait beaucoup de méfiance à son égard depuis les derniers propos de feu Gille Comgáin. Pourtant il se révéla être finalement un roi à la fois juste et bon, il finit par même l'apprécier tout comme cela le devint réciproquement. Profitant de cette période de passation de pouvoir, un royaume voisin en profita sans tarder pour marcher sur Alba. Macbeth en tant que seigneur dans l'armée du roi fut appelé à partir en guerre afin de protéger leurs terres menacées. Une guerre s'en suivit alors et qui dura six longues années. Malgré quelques retours éventuels, son devoir le maintenait loin de sa bien aimée. Il ne communiquait avec elle que part le biais de lettres et il n'avait que son rôle de meneur ainsi que son frère de bataille, Banquo, pour l'aider à combler cette impression de vide.

Les batailles qui suivirent, lui offrirent l'opportunité de mettre en valeur son initiative et ses bons conseils. Finalement en 1037, ils furent promus, lui et son ami, généraux des armées. Ne répondant alors que d'eux même, ils manœuvrèrent pour mettre à mal l'armée invasive. En une année, ils renversent la tendance et regagnent les territoires perdus et pendant les deux années qui suivirent, ils s'avancèrent profondément en territoire ennemi. Seulement, fatigué par cette guerre, Macbeth tenta le tout pour le tout en coupant au travers du territoire ennemi afin de prendre le chef ennemi à revers. Un plan audacieux mais pas moins dangereux qui, au prix de nombreuses vies, porta ses fruits. Il le fit alors prisonnier avant de l'amener répondre de ses crimes devant le roi.

V. Les trois sorcières

Avec la nouvelle de cette victoire précipitée parvenue jusqu'au château royal, le roi partit en personne à la rencontre de ses généraux. Pendant ce temps, chassant les derniers groupuscules en fuite, Macbeth et son ami Banquo, firent la rencontre de trois femmes étranges toutes vêtues de haillons. Bien qu'étrangères, elles les accueillirent en les citant par leurs propres noms. Elles les vantèrent de prédictions affabulées en désignant Macbeth en tant que Thane de Glamis, de Thane de Cawdor puis de futur Roi. Quant à Banquo, elles lui prédirent une descendance de rang royale. Suite à cela et sans autres paroles, elles disparurent dans la brume nordique, malgré les questions d'un Macbeth très perturbé par ces révélations. Banquo, guère affecté par quelques racontars, remit les pieds sur terre à son compagnon en lui rappelant de ne pas croire les propos de quelques hères.

Pour Macbeth, devenu quelque peu songeur, ne sut trouver un quelconque sommeil et lorsque le beau matin approcha finalement, des messagers royaux vinrent à leur rencontre. Les deux généraux se regardèrent d'un même air interloqué lorsque ceux ci apprirent que Macbeth allait être récompenser par le nouveau titre de "Thane de Cawdor". Était il possible que ces trois sorcières aient dit vrai et que Macbeth prétende un jour à devenir roi ? Quelque peu hébété par la nouvelle, le concerné et son frère d'arme suivirent les messagers afin de rejoindre le roi et de procéder à la cérémonie de passation. Il fut ensuite décider qu'une grande fête serait célébré au château de Glamis en l'honneur de leur héros du jour.

Ce fut suite a cela qu'il écrivit une lettre à sa bien aimée, en la prévenant de la nouvelle ainsi que de son nouveau titre seigneurial. Il n'omit guère de lui relever la prophétie des trois sorcières. Galvanisée par la nouvelle, elle ne put rêver d'une plus grande joie pour elle que de voir la fulgurante ascension de son aimé. Devenir reine était un rêve qui la hantait depuis toujours.

VI) L'assassinat du Roi

Macbeth, de retour auprès de sa Lady, put enfin jouir du repos et du bien être de son chez soi. Sous l’oreiller, elle lui susurra une idée qu'il ne lui serait jamais venu en tête : profiter de la fête pour assassiner le Roi. Bien que rêveur à obtention de ce titre suprême, son honneur lui somma de refuser catégoriquement cette folle idée. Cependant cette femme fatale savait comment le manipuler. Si bien qu'au fur et à mesure que le jour de la fête tant attendue approchait, il succomba peu à peu à la voix tentatrice de sa moitié qui alla jusqu'à organiser en détail le parfait attentat.

Le moment de la fête venu où tous les seigneurs du royaume furent réunis. avec ses spectacles, ses musique ainsi que nourriture à foison en particulier le vin qui s'écoulait inlassablement. Tard dans la nuit, alors que tous avaient regagné leur chambre, Lady Macbeth, experte dans le domaine, en profita pour droguer une carafe de vin qu'elle offrit généreusement aux gardes du roi. Ces derniers sombrèrent profondément dans le sommeil, laissant la voie libre à Macbeth qui, équipé d'une dague, se glissa dans la chambre de Roi. Il resta un long moment à le contempler tiraillé par cette petite voix qui lui sommait de planter sa lame dans le cœur de cet homme. Après tout, il avait peut être été l'investigateur de la mort de son père pour obtenir lui même cette place royale ?

Toujours fut il que ce long moment de remise en cause fut soudainement interrompu par le réveil du roi qui remarqua bien vite la présence de Macbeth, une dague à la main. Il n'eut alors d'autres choix que de lui asséner de multiples coups, un acte rendu infiniment plus difficile par un homme en train de se débattre. Succombant à ses nombreuses blessures, ce fut les mains et sa tenue toutes couvertes de sang qu'il ne put que constater le corps gisant de sa victime, n'ayant que pour seul compagnie l'odeur du sang qui lui embruma un peu plus l'esprit. Sortant de la salle, il rejoignit sa femme dans l'obscurité de la cour inquiète de son retard. Les mains encore tachées de sang, il se dirigea immédiatement vers le puits afin de les en purger dans des mouvements frénétiques, presque fous. Mais la dague avait été laissé sur place, ainsi sa femme partit jusqu'à la chambre pour la reprendre et de couvrir les gardes du sang royal afin de les rendre coupable de cet assassinat.

Elle revint alors à son tour couverte de sang et la dague à la main qu'elle chercha immédiatement à se défaire. L'aube approchant et dans un silence de mort, ils regagnèrent leur chambre afin de changer leur vêtement et de dormir, du moins autant que leur conscience le leur permis. Au petit matin, des fidèles du Roi entrèrent dans sa chambre pour constater les gardes à terre et le corps gisant de leur souverain. Macbeth, un des premiers à arriver sur place, simula une rage folle en dégainant son épée pour tuer les gardes coupables sous les yeux des rares personnes présentes. Les seuls suspects éliminés rendu l'affaire des plus obscures à élucider. En tant que héros de guerre tous ne purent que se résigner à croire les propos de Macbeth. Mais le fils du roi, Malcom, était encore très jeune, craignant pour la vie de l'héritier royal, le seigneur Macduff ainsi que d'autres proches, décidèrent de l'emmener dans le sud, en Angleterre où il y serait en sécurité jusqu'à sa majorité. La voie royale désormais libre, Macbeth, en tant que dernier petit fils de Malcom II et héros de la guerre de Cawdor, fut couronné roi d'Alba soutenu par la majorité des seigneurs.

VII) Le roi fou

Les premières années de gouvernance furent relativement calmes et se révélèrent faire de lui un bon monarque à l'écoute de son peuple. tout commença à se gâter véritablement avec la détérioration de l'amitié entre les deux anciens généraux qui tourmenta peu à peu le nouveau roi. En effet, des visions lui rappelèrent les paroles des sorcières qui avaient évoqué la descendance de Banquo comme royale. Et comme tout à chacun savait, cela impliquait que le roi actuel devait mourir. Tout ceci les rendirent bien évidemment tout deux très soupçonneux l'un de l'autre. Bien que respectueux de leur ancienne amitié, il fut nourrit d'une paranoïa de plus en plus virulente, telle une hantise, au point que Macbeth ne supporta bientôt plus cet enfant grandissant toujours plus vite, et se décida à commettre une nouvelle fois l’impardonnable. Il envoya alors des assassins afin de se débarrasser du jeune homme tout comme de son frère d'arme afin de parer à toutes représailles. Pourtant, l'attentat ne se déroula pas aussi bien qu'escompté. En effet, Banquo se sacrifia héroïquement avec l'énergie du désespoir afin de laisser le temps à son fils de s'échapper de ses ravisseurs.

Très inquiet du retour de cet échec, Macbeth se débarrassa des exécuteurs, avant de retourner au banquet qu'il venait d'organiser et où toute la noblesse d'Alba s'était réunie. Il leva ironiquement un verre à la santé de Banquo qui n'y était bien évidemment pas présent. Cependant l'absence de Macduff contraria fortement le roi. Il avait eu quelques visions le concernant qui ne lui inspirait rien de bon. Aussi s'en méfia t-il. Il était persuader que ce dernier était retourné une nouvelle fois en Angleterre auprès de Malcom, fils de Duncan afin de se préparer à reprendre le trône par la force. C'est après quelques verres dans l'espoir d'oublier tout ceci qu'il eut alors la terrible vision de Banquo se tenant non loin de lui. Terrorisé par cette vision, Macbeth entra dans un délire en parlant à ce spectre imaginaire. Devant toute la noblesse, il trahit quasiment le secret de ses crimes, ce qui provoqua l’incompréhension de la plupart de ses barons. Se retrouvant seul auprès de sa bien aimée, il n'en resta pas moins très perturbé par ce qu'il venait de vivre.

Perdu et en quête de conseils afin de le rassurer, il partit à la rencontre des sorcières qui lui parlèrent à nouveau sous formes de plusieurs révélations. Elles lui prédirent alors qu’il resterait invincible tant que la forêt ne marcherait pas sur les tours de son propre château. Et qu’il ne serait jamais tué par un homme « né d’une femme ». La nouvelle emplit Macbeth d'une assurance telle qu'il s'en crut immortel. Désormais, sans le moindre doute, il décida de punir la trahison de Macduff en envoyant tout un contingent afin d'éliminer son épouse ainsi que tous ses enfants. La nouvelle de cet acte terrible, se répandit très vite, quelques uns des barons cherchèrent alors à déserter ou à rejoindre Macduff et Malcom, majeur désormais, qui préparaient en secret leur retour épauler par l'armée anglaise. Certains cependant n'en eurent guère le temps, Macbeth les firent exécuter publiquement afin de dissuader les autres de faire de même.

VIII) La chute de l'Immortel

Les rares barons à être parvenu jusqu'à Macduff l'avertirent de la terrible nouvelle. Blessé au plus profond de son être, pleurant sa famille assassinée, il n'eut alors pour unique réconfort que la promesse d'une croisade vengeresse. Le départ de l'armée s’en-trouva précipitée pour commencer à envahir le Royaume d'Alba sans armée pour la défendre. Macbeth, du haut des tours de son château, perdu dans sa folie, se contentait de fixer l'horizon en direction de l'orée de la forêt. Il en oblitéra totalement Lady Macbeth qui avait depuis deja un long moment commencer à délirer, incapable d'assumer la responsabilité de tout ce sang déversé. Dans ses crises de somnambulisme, elle trahit son aimé à son insu, en évoquant sa culpabilité dans le meurtre du roi Duncan. Cette nouvelle répandue éradiqua le peu de foi que les nobles encore présents avaient pour Macbeth.

L'arrivée de l'armée anglaise sonna le glas de son règne. Ses soldats abattirent nombre d'arbres en les brandissant face a eux afin de masquer leur nombre exact à leur ennemi. De cette vision du haut du donjon, seule et incapable d'en endurer davantage, Lady Macbeth, se jeta dans le vide pour s'y écraser en contrebas. L'effroi retentissant des personnes tout autour fit arriver Macbeth qui resta cruellement impassible devant le corps désarticulé de sa dame. Il se contenta de poursuivre son chemin avant de porter un regard sur l'avancée ennemie qui effrita son assurance. "Regardez ! on dirait que la forêt se dirige vers nous !" s' exclama l'un des hommes du rempart. Ces mots l'emplirent du doute et le fit rejoindre l'intérieur de la salle du trône.

Avec l'ennemi marchant sur eux et un roi complètement fou comme leader, il ne fallut guère longtemps pour voir ses seigneurs se débiner en prenant la fuite. Les rares a être encore fidèle au Roi furent tués en essayant de les empêcher de fuir. Et lorsque l'armée anglaise parvint jusqu'au portail grand ouvert, ils ne purent que constater un château déserté. Il ne restait alors pour uniques habitants que des cadavres ainsi que Macbeth, seul, assis sur son trône. Dans son regard, la folie l'avait fait exempt de toute forme de peur. "Aucun homme né d'une femme ne pourra l'emporter sur moi, se disait-il inlassablement. Il se leva alors afin de faire face à ses adversaires qu'il défia les uns après les autres. Seul contre tous, sa prestation fit gagner une crainte grandissante chez ses opposants, qui s'écartèrent peu à peu.

Inarrêtable, il parvint à se frayer un chemin au travers du château en le jonchant de sang et de cadavres. Seul la rencontre avec Macduff, stoppa son avancée pour débuter avec lui un long et violent duel. Animé par la vengeance, Macduff n'en finit pas moins désarmer face à la maitrise et la conviction du meurtrier. Une jubilation ultime pour ce dernier qui ne put s'empêcher de clamer à tous ici présent son immortalité et qu'aucun homme né d'une femme ne pourrait l'emporter sur lui. Le vengeur lui apprit alors qu'il naquit par césarienne, ce qui mit Macbeth en proie au doute, le faisant hésiter et réticent à poursuivre le duel. Par cette crainte grandissante qui le tiraillait alors, il ploya sous les coups vindicatifs de son némésis pour finir transpercer par la lame de son opposant et finalement voir sa tête roulée à même le sol. Ainsi finit, en l'an 1057, le règne du roi fou Macbeth, laissant au jeune roi Macolm la possibilité de poursuivre le règne de feu son père.


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Deux piles de papiers alignées d'un coté, encore bien davantage de l'autre. Assis sur mon bureau, se tenait devant moi, toute la paperasse administrative inhérente au quartier de la Paresse pour la journée. Une charge de boulot colossale que je ne devais qu'au bon vouloir de Caliban. Et de ce coté là, j'étais gâté ... Je pris en main ce que je reconnu comme une demande de fournitures supplémentaires pour le salon de thé. Sans raisons particulières valables pour la refuser, je la signai sans plus tarder et la plaçai au dessus des autres demandes. Beaucoup se seraient bien volontiers pendus au lieu de s'occuper de ce boulot interminable. Ce qui n'était pas mon cas, étrangement, j'y trouvais une forme de plaisir. La raison ? Peut être un peu maso sur les bords ? Ou plus simplement l'odeur mêlé à la texture du papier ? Ou bien, m'étais-je finalement imprégné de toute cette paresse qui m'entourait ? C'était dans tous les cas bien mieux que d'errer sans but dans le dédale de l'enfer. Car c'était là où je m'étais jadis retrouvé.

En vérité, Je n'ai que bien peu de souvenir de cette période passée, ce qui n'est pas une si mauvaise chose. Tout ce que je peux affirmer c'est de m'être retrouver devant Minos et d'avoir bu l'eau du Styx, en dehors de cela, mis à part ma rencontre avec Caliban, tout le reste n'est qu'un vaste flou. Quelques fragments sont bien restés mais pas suffisamment pour les comprendre dans leurs globalités. Je me souviens d'une rencontre avec Lucifer ou des images d'un passé médiéval où seigneurs et dames vivaient. Les pires sont ceux évoquant cette violence, ce sang et tous ces meurtres qui éveillent quelque chose tapi en moi. Fort heureusement, ces derniers sont oubliés au plus vite. Et cela je ne le dois qu'à Caliban qui est en mesure de me faire oublier ce passé que je ne voulais pas voir ressurgir. Même si je ne m'en rappelais pas , je ressentais qu'une part de moi même restait en sommeil et ne devait à aucun prix s'éveiller.

C'est principalement pour cette raison que je me suis retrouvé aux cotés de ce chef de quartier. J'ai appris à le connaitre plus qu'il ne saurait le dire et à l'apprécier à sa juste valeur. Je suis là où il veut que je sois, je fais tout ce qu'il veut que je fasse. Que je sois son ami, son sécretaire, son esclave ou son chien, tout ceci n'est rien en comparaison de cette paix intérieur qu'il a été en mesure de m'offrir.

Joueur
Crédit de l'avatar - Eve (merci a toi ~)
Who are you ? Karasou
Comment tu nous as trouvé ? En passant de partenariat en partenariat. Je ne cherchais pas spécialement de forum de ce style, mais quand je l'ai vu, j'ai tout de suite flasher ^^
Des remarques particulières ? Le forum est agréable et sombre comme je les aime ! (sinon je ne me serais pas inscrit XD ) Peut être une chose, le fait que les images d'avatar s'inclinent est chouette, cependant en passant la souris dessus il semble décalé le texte des posts, ce qui l'est un peu moins :P





Friends in Death

Caliban
The Big Boss
Le patronat lascif dans toute sa splendeur et aussi étonnant qu'il puisse paraitre son meilleur ami. Il lui délègue toutes les tâches qu'il n'a pas envie de faire; en somme, il le laisse s'occuper de tout. Et par reconnaissance d'avoir un toit, un travail et surtout la stabilité dont il avait besoin, Macbeth s'occupe de lui, obéissant à chacun de ses ordres quels qu'ils soient.
Noah & Mason Leventhorpe
Petites pestes
Caliban les laissent tranquillement chaparder dans le « Dirty ». Chose qu'il ne tolère que très difficilement.



Dernière édition par Macbeth le Dim 22 Juin - 16:37, édité 10 fois
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Eve Eve
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MessageSujet: Re: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptyDim 8 Juin - 20:52

HELLCOME !
En gros, en gras, en couleur, éway.

En voilà une fiche que j'attendais de pied ferme ! :D Et bien remplie en plus ! :) Cependant, je vais laisser à notre Caribou la joie de corriger tout ça et de te valider lorsque ta fiche sera terminée, et moi, je vais tranquillement lire ça dans un coin avec une tisane et jubiler sagement ~ :D
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MessageSujet: Re: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptyDim 8 Juin - 21:10

Merci j'espère que ce début vous - et surtout lui - plaira ^^

Me reste l'histoire que je complèterai très prochainement
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Caliban Caliban
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MessageSujet: Re: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptyLun 9 Juin - 10:08

Ce n'est qu'a moitié réveillé, la tête au dessus de céréales et d'un jus de poire que je dirais ces mots

Magne toi de poster ton histoire ! Je veux la suite *0*
C'est diablement prometteur~!

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MessageSujet: Re: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptySam 14 Juin - 0:34

Bien heureux que cela te plaise ^^

L'histoire a pas mal avancé, mais il me reste tout de même 4 intenses chapitres à faire.
Je vais tenter de finir ça demain, mais j'ai pas mal de choses a faire a coté. mon dimanche est pris. Sinon ce sera courant semaine prochaine et au pire le week end suivant.

Voilou ! J'espère ne pas trop vous faire attendre ^^'
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Caliban Caliban
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MessageSujet: Re: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptyDim 15 Juin - 16:31

Je note. Je note.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que tu fais durer le suspens.

Bon courage pour le reste de l'histoire !
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MessageSujet: Re: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptyDim 22 Juin - 16:41

Hello j'en ai (enfin) fini avec cette histoire /o/

Désolé encore pour le temps mit, y a eu une période de boulot, de grèves et de manifestations importantes cette semaine. Au final, je m'en suis sorti pour vous pondre cette fin de fiche, en espérant qu'elle vous sied ^^
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MessageSujet: Re: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptyDim 22 Juin - 17:00

C'est Mister Caliban qui va être heureux x)
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Virgil Virgil
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MessageSujet: Re: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptyDim 22 Juin - 17:12

Je pense aussi ouais! xD
Heureux de voir ta fiche terminé Macbeth, j'espère pouvoir te voir jouer bientôt sur le forum!
Allez Caliban, ramène tes miches, et corrige moi ça! 8D
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Caliban Caliban
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MessageSujet: Re: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptyLun 23 Juin - 10:23

Hm ? Oui ? on m'appelle ?

Bon bon bon.
Le dicton "Tout vient à qui sait attendre" prend tout son sens ici. Pour le décalage, ce n'est absolument pas un soucis quand on voit cette histoire détaillée. On voit que t'as fait des recherches !!! (Je le sais parce que je les ai moi-même faites ;3)

Je ne dirais alors que peu de choses. Dont entre autre un magnifique "PUTAIN ÇA GÈRE! " suivit d'un "T'as bien cerné le coco".
Pour terminer je finirais sur ces mots: "ALBA THE BRAVE !!!!"
(hein ? Quoi ? Moi obsédé par l'Écosse ? Nooon pas du tout, je ne vois absolument pas de quoi vous voulez parler~)

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Minos Minos
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MessageSujet: Re: Macbeth, la redemption par la damnation [En cours]   Macbeth, la redemption par la damnation [En cours] EmptyLun 23 Juin - 10:35

• • • • HELL'COME • • • •Là haut sur terre, certains se plaisent à dire qu'à trop vouloir le beurre et l'argent du beurre, on finit par perdre la crémière. Et pour ta part, à trop vouloir l'hégémonie, tu as fini par te brûler les ailes. Dommage hein ? Surtout quand on connais ton caractère passé. Ah... Les femmes... Ces traitresses... Tient, boit un coup, ça ira mieux après.

Toi, Macbeth, ancien thane de Glamis et de Cawdor. Toi, ancien roi des farouches clans des jupes à carreaux, tu es condamné à servir ton nouveau souverain dans le glorieux quartier de la Paresse. Et gare à cette main félonne... Tout va très vite ici bas.
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