Le Deal du moment : -20%
-20% Récupérateur à eau mural 300 ...
Voir le deal
79 €

Poster un nouveau sujet   
Répondre au sujet

 Jason Kenneth Ellis - K.I.A.

 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Invité avatar
Invité

MessageSujet: Jason Kenneth Ellis - K.I.A.   Jason Kenneth Ellis - K.I.A. EmptyLun 20 Jan - 1:50

Identité
Date du décès - 04/07/2009
Cause de la mort - Tué au combat
Nationalité - Américaine
Prénom Nom - Jason Kenneth Ellis
Age d'apparence - 34 ans
Profession - Coach de sport
Signe Distinctif - Quelques tatouages sur les avants bras, des phrases en latin, et sur son dos, l'insigne de son unité. Pas mal de cicatrices aussi, dont une vilaine qui lui zèbre tout la partie supérieure du bras, de l'épaule jusqu'à la fin de l'humérus.
Caractère

What's the fuck is wrong with you ?!

Je suis un tueur. C'est la première chose à relever sur ma personnalité... je tue froidement, et j'ai développé un certain goût pour la chose. Un goût pour la violence, la bagarre, le combat, l'adrénaline qui afflue dans mes veines quand un ennemi surgit... C'est grisant ! C'est un sentiment de colère mélangé à une concentration extrême. Je m'énerve assez souvent, et ça me reprend alors. Mes muscles se tendent, je vois rouge en même temps que je vois clairement. Et je frappe, encore, et encore, jusqu'à ce que mon adversaire soit à terre et y reste. J'ai le combat dans le sang, ou plutôt, dans mes muscles rompus à un entraînement régulier. On peut pas dire que je suis une bête de science, mais je ne suis pas idiot non plus. J'apprends vite ce qui m'intéresse. Et je sais que le combat n'est pas se jeter poings nus dans la mêlée, sans aucune considération pour soi ou les autres. Je sais être patient, et reporter mes désirs de combat dans l'attente d'une situation plus favorable. Ça oui, je suis déterminé. Déterminé à réussir, à atteindre mes objectifs, et ce, par tous les moyens mis à ma disposition... Tricher, voler, tuer, piller... Si ça peut me permettre de remplir ma mission, je n'hésiterais pas.

D'ailleurs, ça me fait penser que je suis rancunier. Rancunier comme un pou. Ceux qui s'attirent mes foudres et ne le paient pas dans les minutes qui suivent peuvent êtres sûrs que je reviendrais les voir un jour ou l'autre. Je n'oublie pas facilement les visages. Que ce soient de ceux contre lesquels je vais me venger ou de ceux que j'ai tué. Je me souviens très bien du visage de mon premier meurtre, il continue de me hanter la nuit... quand je dors. Et des suivants. Parce que oui, je suis plutôt perturbé, ici. Là haut, je ne faisais que rarement des cauchemars. Ici, ça doit faire en sorte que ça soit plus fréquent ou quelque chose dans le genre, parce que je me réveille souvent en voyant très nettement des cadavres avancer vers moi. Et puis, en avoir vu quelques uns, pour de vrai, ça n'aide pas. J'ai beau voir des nerfs d'acier, à ne pas craquer alors que l'ennemi passe à moins d'un mètre de votre planque... voir des types que j'ai tué, ça me prend aux tripes.

Pour continuer, je ne suis pas du genre à m'attacher aux gens. Dans le métier que j'ai exercé, on ne peut pas vraiment se le permettre. On sait qu'on va tous finir par y passer. Moi, lui, elle, les autres. On est tous condamnés. Notre métier nous force à côtoyer la Faucheuse chaque jour, chaque nuit, à chaque instant. Enfin, nous forçait... J'ai encore un peu de mal à m'y faire. Ça fait... quoi, cinq ans déjà ? Déjà ?! Bref, cinq ans, et j'ai encore du mal à imaginer que je sois mort. Comme ça. C'est étrange parce que je n'avais jamais ressenti de problèmes d'adaptation avant... Ça doit être quelque chose dans l'air. Toujours est-il que j'ai changé durant mon séjour ici.

Physiquement, non, mais mentalement, j'ai l'impression d'être plus sensible à ce que j'ai fait. J'ai eu le temps de penser, de beaucoup penser, et j'en ai éprouvé quelque chose. Pas du remord, non, je ne regrette pas d'avoir été ce que j'ai été. Mais un sentiment plus incompréhensible, plus bizarre, plus faible. Moi qui n'ai jamais été croyant, voir que ces curés et prêtres avaient raisons sur l'Enfer, ça me la fout mal. Et puis, c'est bien la première fois que je vois des fantômes imaginés par mon esprit, et que je suis capable d'avoir de longs espaces vides, pendant lesquels j'entre dans une léthargie bizarre. Si on ne me l'avait pas raconté, je ne l'aurais jamais su d'ailleurs.

Ce qui me manque le plus en Enfer ? C'est de pas pouvoir tuer une nouvelle fois une ribambelle des types que je croise. Le fait qu'ils soient immortels maintenant ne devrait pas leur donner le droit de fanfaronner. Point barre.

Physique

Ashes to ashes, dust to dust...

Je ne vais pas le mentir, ni chercher à le cacher. La première chose qu'on voit c'est que je suis musclé. Forcément, après plusieurs années d'entraînements, sans relâche, avec des épreuves les plus dures qui soient, mon corps en porte les marques. Les muscles bien développés, donc, répondant sans soucis à chacune de mes sollicitations, et que je maintiens encore tous les jours, plus par habitude que par nécessité réelle. Sur le tout est monté mon visage, aux yeux durs, que l'on croirait jaune lorsqu'on les illumine, alors qu'ils sont simplement marrons. Les heures passées avec une lunette à intensifications de lumière a toutefois légèrement éclairé la couleur de mes prunelles. Je porte généralement la barbe, pas trop longue toutefois. Mes cheveux non plus ne sont pas aux normes militaires de base : indisciplinés, à une longueur plus grande que celle règlementaire, ils sont châtain sombre.

Je possède quelques tatouages faits lors de chaque étape importante de ma carrière militaire : sur mon avant bras gauche est marqué la devise du 10e de Montagne, "First in Deed", sur l'autre, celle des Rangers, "Rangers Lead thé Way !", les deux inscriptions en caractères gothiques. Enfin, dans mon dos, l'insigne de ma plus grande fierté, le Delta transpercé d'un couteau. Interdit par l'Armée, qui considérerait que c'était une marque distinctive, je l'ai toutefois gardé, et bien caché tout ce temps.

Souvenirs de mes années de batailles, quelques cicatrices sur mon corps, rien de bien méchant. Par contre, souvenir bien plus récent, souvenir que j'ai emporté dans la tombe, les traces de brûlures sur mon torse, et les éclats d'os qui criblent ma peau. J'ai eu beau essayé de les enlever, je n'y suis pas parvenu. Si quelqu'un a l'adresse d'un bon toubib dans le coin...

Histoire

Tell me a funny fucking story.

J'ouvre les yeux. La dernière chose dont je me souvienne, c'est... Non, merde, je m'en souviens pas. J'étais en opération, et puis... Et puis quelque chose s'est passé. Mais ça n'a pas commencé comme ça. Tout n'a pas commencé comme ça. Avant, j'étais... ailleurs. D'ailleurs, où suis-je ? Et peut-être plus important, qui suis-je ? E-Ellis. Jason Ellis. Membre des Forces Spéciales Américaine. Oui, ça me revient maintenant. Mon boulot. Mes potes. Mes opérations. Mais ça n'a pas commencé comme ça, pas encore.

Je suis né... à San Diego, en Californie. Ça je m'en rappelle, parce que je passais souvent à côté de la base des Marines, le Camp Pendleton. Etant gamin, je pouvais passer des heures à épier les soldats en exercice. J'ai grandis en me disant qu'un jour, je serais aussi fort qu'eux. Et bien sûr, pour être fort, il fallait s'entraîner, seul, et contre d'autres. Devenant rapidement un petit chef de bande, je passais le clair de mon temps à martyriser les gamins des autres. Oui, ça je m'en rappelle bien. Je m'en rappelle d'autant mieux parce que je conçus une grande frustration à devoir arrêter. Pour réaliser mon rêve, et devenir soldat, je ne devais pas avoir de casier judiciaire.

Mes écarts d'enfants s'arrêtèrent là, pour les plus graves. Etant adolescent, je passais le plus clair de mon temps à la salle de tir, à la musculation, et à tout ce qui pourrait me rendre plus fort. Je sacrifiais mes études pour mon rêve, et dès mes seize ans, avec l'accord des parents, je rejoignis l'US Army. Ayant raté mes tests d'officiers, je n'abandonnais pas pour autant et passais ceux pour devenir chef de groupe. Je réussis ainsi à intégrer un premier régiment au sein du 10e de Montagnes, avant d'être intégré au sein de la prestigieuse unité des Rangers à mes 18 ans.

Et après... je fus déployé pour la première fois au sein d'une unité de combat en Somalie. Je reçus mon baptême de feu un mois après mon arrivée en terre inconnue. Les patrouilles s'étaient enchaînées auparavant, mais sans que nous ne croisions jamais l'ennemi directement. Oh, il était là, mais on avait ordre de ne pas engager sans être sous le feu adverse. Et ma première expérience du combat fut... décevante. Tirer sur des ennemis au loin, sans jamais être en danger n'était pas ce pourquoi je m'étais engagé. En fait, je ne connus cette expérience qu'au bout d'un mois supplémentaire. Cette fois-ci, c'était ce que je voulais. Le véhicule de tête de notre colonne avait été pris à parti, et avait dérapé sur le bas côté de la route. Aussitôt, les autres s'étaient placés autour en couverture, et on était sorti en criant. Les ennemis étaient proches, et tiraient avec leurs armes automatiques, à moins d'une cinquantaine de mètres.

A la tête de mon peloton, j'étais allé vérifié l'état du véhicule touché, contenant trois hommes des forces spéciales. L'un d'eux me fixa, et me montra la position des ennemis en me demandant de les mettre hors de combat. Retournant sur la route, je fis décrire à mes hommes un long contournement, à l'abris derrière les bâtiments, sous la couverture des véhicules alliés. Arrivés autour de la zone adverse, je pris tout mon temps pour ajuster mon tir, avant de déclencher le feu de six armes américaines. La confusion était terrible, mais je fus sûr d'avoir abattu au moins un ennemi ce jour-là. C'était mon premier, et je venais d'abattre un gamin d'une quinzaine d'année qui épaulait terriblement mal la terrible AK-74. C'était mon premier, et ce fut la seule fois où j'éprouvais du remords.

Lorsque l'on revint au véhicule, on nous annonça la chute d'un hélicoptère Black Hawk dans une partie hostile de la ville. La suite, elle a été racontée en film : la situation a dégénéré, on s'est embourbé, et finalement on s'était tous entassé dans un bâtiment presque en ruine, avec de nombreux blessés, et des munitions réduites. Les renforts sont arrivés le lendemain matin sous la forme de plusieurs chars des Nations Unies, et on s'en est tiré à bon compte. Pas un seul instant dans la bataille je n'ai redouté la mort. Au contraire, j'étais presque prêt à l'accueillir...

Peu après, les types des forces spéciales m'avaient repéré, et je fus choisi pour un entraînement spécial à Fort Bragg, avec pour objectif, intégrer la Delta Force ! Après un mois aussi dur physiquement que mentalement, où je fus constamment rabaissé, ramené à l'état de débris humain, on m'annonça que j'étais retenu. C'était un 4 juillet, et ce fut la plus belle Fête Nationale de ma vie. Je quittais donc les Rangers, et devins un soldat sans uniforme autre que pour les parades. Et pendant deux ans, je m'entraînais. Pendant deux années, je parcourais plus de continents qu'un américain moyen dans sa vie. Sans participer jamais aux opérations, j'assistais à la logistique, au transport, et à tous ces petits métiers de soutiens dont on a besoin dans une armée, et le tout, camouflé aux yeux de l'ennemi. Je faisais des boulots de plus en plus complexes, comme apporter des provisions à un groupe Delta soigneusement installé dans les Montagnes depuis des semaines sans me faire repérer, en plein territoire adverse, ou me voler dans des camps suspectés hostiles sans arme...

Deux ans pendant lesquels je devins le soldat d'élite que je suis. Que j'étais. Peu importe. J'avais 21 ans en sortant de mon entraînement, et lors de ma première opération en tant que membre des Forces Spéciales. C'était en 1988, et les Soviétiques débutaient leur retrait d'Afghanistan. J'y étais allé, en tant qu'observateur... Ne comprenant pas pourquoi, moins de vingt ans plus tard, c'était au tour des Américains de s'enfoncer dans ce merdier. Et on y est allé aussi, forcément, en appui aux forces régulières. 2003 marqua l'année de mon plus grand coup d'éclat. C'était en Irak, le 13 décembre, lorsqu'on entra dans la maison de Saddam Hussein, et que j'annonçais fièrement par radio "On l'a eu."

Toutes nos autres missions étaient peu reluisantes... Et qui ne seront sûrement jamais racontées par la presse. Aller dans des petits villages, torturer les ennemis suspectés, ou bien s'enfoncer dans un dédale de cave en abattant tout le monde, sans se poser de question. Homme, femme, enfant... On ne faisait pas de différence. Le Commandement avait établi ainsi une liste top secrète de "kill zones", où tout être vivant était considéré comme hostile, armés ou non. Je fus souvent blessé, une fois assez méchamment, lorsqu'un type se la jouant samouraï m'entailla tout le bras gauche avec sa lame, jusqu'à l'os.

Et tout ça jusqu'à ce fameux jour. Chaque année, pour notre fête nationale, on organisait une petite opération. Un p'tit jeu, comme on l'appelait. On s'armait, et on partait en chasse. Pendant toute une nuit on traquait nos adversaires chez eux, on les tirait de leurs lits, et on les exécutait dans les rues. Et le but était de le faire avec des feux d'artifices, pour la fête quoi. Cette nuit-là... Tout se passait bien pourtant. Ça y est je me revois. J'ai mon fusil dans les mains, j'entre dans la maison. Tout est calme. Mon ailier me fait un signe discret, R.A.S. Je continue à avancer. Le type ronfle dans sa chambre. Un sourire malsain se forme sur mon visage tandis que je pousse la porte... Pour tomber nez-à-nez avec un homme musclé, les yeux d'un vert surprenant, contrastant avec sa chevelure sombre qui lui tombait au creux des reins. Mais surtout, il n'avait pas l'air surpris le moins du monde de me voir. Il parla, et le bouton de sa main s'illumina. Je me jetais en arrière, mais il était trop tard.

Je me rappelle encore du bruit de la déflagration, de la sensation de brûlure sur mon visage, de ma chute contre le mur. De mes potes autour de moi, criant, et essayant de me maintenir en vie. Je me rappelle encore de la morphine s'écoulant dans mes veines. De la douleur qui reflue. Et puis de plus rien d'autre.

Et me voilà ici. Sans arme. Juste le treillis habituel, même pas la présence rassurante de mon lourd équipement. Même pas un bête couteau. Si je suis ici, c'est qu'il y a une raison. Le brouillard m'entoure, dans une chape nonchalante. Je relève la tête pour essayer de voir les nuages, mais il n'y en a pas. J'avance jusqu'à la rivière non loin, les sens aux aguets. C'est quoi, ça ? Un genre de test ? Ou peut-être que je suis en train de délirer, tout simplement. Je dois être dans le coma, et je délire. Complètement. Je distingue vaguement un type et je cours vers lui.

Je suis mort.

C'est ce qu'il a dit.

Je suis mort.

Connard !

J'ai voulu le frapper, mais mes muscles étaient trop engourdis pour ça. Ils ont refusé de m'obéir, et l'autre m'a proposé de boire de l'eau. J'ai failli accepter, pour réveiller mes muscles et lui en mettre une après, mais après j'ai réfléchi. Est-ce que j'avais vraiment envie de boire de l'eau venant de ce type ? Certainement pas ! Ça a l'air d'être un monde de fou. J'ai grimpé dans sa barque puisqu'il me l'a demandé. Pas comme si j'y voyais quelque chose avec ce brouillard.

Je suis monté, et je suis arrivé à Las Vegas, version infernale de la ville. On m'a expliqué en gros de quoi il s'agissait. J'ai senti mes doigts répondre à mon appel et se refermer en un poing lorsqu'on m'a encore répété que j'étais mort. Et puis j'ai laissé tomber. J'étais ici, et je venais de reconnaître un type au loin. Un type avec de longs cheveux passait dans une foule aux airs hébétés. Je me souviens de lui avoir refait le portrait ce jour-là. Et quand il n'est pas mort, j'ai compris qu'on ne m'avait pas menti, en fin de compte.

J'étais mort.


Joueur
Crédit de l'avatar - MarkWasHere, SOF.
Who are you ? Vaea
Comment tu nous as trouvé ? Par un adorable petit ange... qui m'a balancé ici T-T
Des remarques particulières ? Heuuu.... Continuez comme ça 8D. J'aime beaucoup l'idée d'avoir deux liens minimum à l'inscription, ça va vraiment permettre des choses sympathiques, et du coup, d'avoir d'entrée de jeu des possibilité de RP.




Friends in Death

Valentine Sesto
Pas étonnant que l'Enfer soit bien organisé avec la mafia..
C'est une relation plutôt amicale que j'entretiens avec ce cher Valentin. Etrange, car au premier abord, je l'avais tout de suite pris pour un mafieux reconverti en croquemort. Ce qui, pour la première définition, n'était pas si éloigné que cela de la réalité. Enfin. De l'ancienne réalité. Bref, toujours est-il que j'ai bien aimé son côté rusé, et un peu sournois. Un genre de moi tueur mais en plus discret. On est pas super pote non plus, on se salue juste quand on se croise, pas de quoi l'accompagner dans une vendetta, ni mois de l'entraîner dans mes problèmes.
Attila Dengizich  
C'est qui le patron ? Ben c'est pas toi.
Lui, il paraît que c'est le chef de la milice. Il paraît aussi qu'il était important autrefois. Il paraît même qu'il est dingue. Mais ce qui est sûr, c'es que je ne l'aime pas. Il m'a proposé d'entrer dans sa milice à mon arrivée, et j'ai refusé. J'ai refusé pas parce que je n'avais plus envie de me battre, mais parce que je ne voulais pas être sous SES ordres. Voilà. Je vais peut-être me la jouer patriotique, mais moi, je sers le Gouvernement des Etats Unis d'Amérique, pas un type qui montre les crocs en demandant à la volée qui c'est le patron. Parce que oui, en même temps c'est vrai, je vais pas le reconnaître, lui, comme un patron ! Ça serait du délire. On m'a averti qu'il allait sûrement mal prendre mon refus, mais, hé, au pire, quoi ? Je suis déjà mort, et lui aussi.
[NOM DE VOTRE TROISIEME LIEN]
3EME TITRE DE LIEN
[NATURE DE VOTRE TROISIEME LIEN - DEUX LIEN MINIMUM PAR PERSONNE]
[NOM DE VOTRE QUATRIEME LIEN]
[TITRE DE VOTRE QUATRIEME LIEN]
[NATURE DE VOTRE QUATRIEME LIEN]


Dernière édition par Jason K. Ellis le Mar 21 Jan - 21:53, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas







Virgil Virgil
Messages : 884
Points : 7978
Date d'inscription : 25/09/2013
Localisation : In your dreams, baby.
Humeur : Drunk, baby !

MessageSujet: Re: Jason Kenneth Ellis - K.I.A.   Jason Kenneth Ellis - K.I.A. EmptyLun 20 Jan - 4:14

HELLCOME !

Après avoir lu ta fiche - et accessoirement parce que je ne sais pas quoi faire de ma nuit et que je ne peut pas attendre quelques heures - c'est moi, Eve, qui vais m'occuper de ton cas.

Je tiens à préciser que le personnage de Virgil est un compte joueur ET correcteur de fiche - ne t'étonnes donc pas de voir un autre membre du staff prendre son apparence lors d'une correction- dont le rôle est de guider (ou de perdre) les damnés en enfers.

Alors : Beaucoup de choses me plaisent beaucoup beaucoup, notamment le fait que tu nous parlent de son caractère qui a évolué après son arrivée en Enfer, c'est extrêmement intéressant de voir le cheminement d'un personnage au fil du temps ! Les ressentit de ton arrivée dans l'histoire, comment il vit également que son physique ne change pas vraiment : En gros, tu as bien saisit les concepts fondamentaux du forum et ça fait GRAVE plaisir !

Juste un petit point à modifier : Minos ne te mets pas en garde sur l'eau du Styx. En fait, on l'as précisé dans le contexte pour que le joueur sache qu'il a la possibilité de rendre son joueur amnésique (comme l'est le personnage de Marc-Antoine), mais en soit, le vieux est un peu vicieux, donc il te tendra de l'eau genre "Hey ! Whats'up dude ?! :D".

Ce n'est qu'un tout petit détail, mais voilà. :p *pointilleuse*

Sinon voilà, j'aime beaucoup l'idée, le développement toussa toussa !

J'ai lu au VRAI Virgil ta fiche, et on est tous les deux tombés d'accord : Ton pêché est la colère (avec une petite pointe d’orgueil, mais ça reste la colère). Je pense que tu en as parlé avec la demoiselle, mais j'imagine qu'un lien avec Tanatos serait judicieux vu le personnage. Comme prédéfinis, je t'orienterais vers notre marchand d'armes, Valentine, ou peut être quelques belles demoiselles de luxure, et bien entendu : Atila, le chef de la milice du quartier de la colère !

On aurait plusieurs métiers à proposer pour ton personnage : (Mis dans l'ordre personnel d’intérêt !)
Coach de muscu (Celui là alimenterait ta colère, c'est intéressant : Tu ne parviendrais jamais à tes fins puisque le physique ne change pas en Enfer : Tes clients ne peuvent pas se muscler !), patron d'une boutique de muscu, Coatch fitness (celui là c'est plus pour la blague, mais honnêtement ce serait délire xD) CRS, Gardien de prison, Milicien.

Note que les "délires" sont dans le quartier de l'envie et que les plus sérieux sont dans le quartier de la colère. En fait, tu peut travailler dans un autre quartier que celui de ton logement, donc pas de soucis. :)

Tous ces métiers seront un peu "dégradant" pour ton personnage puisqu'il KIFFAIT son métier de son vivant. Donc dans l'idée c'est intéressant :p

Voili Voilou ! En espérant que tu trouves ton bonheur parmi tout ce petit tintouin !
Ta fiche seras validée une fois que tout sera mis en place !

Love, Eve.  ❤ 
Revenir en haut Aller en bas







Invité avatar
Invité

MessageSujet: Re: Jason Kenneth Ellis - K.I.A.   Jason Kenneth Ellis - K.I.A. EmptyLun 20 Jan - 23:57

Voilà, voilà, j'ai modifié la partie concernée (vive le chipotage \o/ !) ici : "J'ai failli accepter, pour réveiller mes muscles et lui en mettre une après, mais après j'ai réfléchi. Est-ce que j'avais vraiment envie de boire de l'eau venant de ce type ? Certainement pas !"

Et ensuite, j'ai décidé, avec l'aide de Virgil sur la CB, de partir sur un métier de coach de musculation... x)

Voilou ! Ensuite, je suis en train de peaufiner des liens avec Tanatos, Attila, et Valentine, donc. Je préviendrais dès que ça sera fait ! =)

Revenir en haut Aller en bas







Invité avatar
Invité

MessageSujet: Re: Jason Kenneth Ellis - K.I.A.   Jason Kenneth Ellis - K.I.A. EmptyMar 21 Jan - 8:32

J'ai le droit de souhaiter la bienvenue? *se fait toute petite*
Revenir en haut Aller en bas







Virgil Virgil
Messages : 884
Points : 7978
Date d'inscription : 25/09/2013
Localisation : In your dreams, baby.
Humeur : Drunk, baby !

MessageSujet: Re: Jason Kenneth Ellis - K.I.A.   Jason Kenneth Ellis - K.I.A. EmptyMar 21 Jan - 8:49

Bien évidemment que tu as le droit! Du moment que ça ne tourne pas au Flood =)
Revenir en haut Aller en bas







Caliban Caliban
Messages : 318
Points : 3851
Date de naissance : 06/02/1992
Date d'inscription : 30/09/2013
Age : 32
Localisation : Q5
Humeur : Planante...

MessageSujet: Re: Jason Kenneth Ellis - K.I.A.   Jason Kenneth Ellis - K.I.A. EmptyMar 21 Jan - 9:02

Hey ! Bienvenue soldat !
Revenir en haut Aller en bas







Invité avatar
Invité

MessageSujet: Re: Jason Kenneth Ellis - K.I.A.   Jason Kenneth Ellis - K.I.A. EmptyMar 21 Jan - 21:48

Merci à vous \o/ !

Voilà les deux liens que j'ai mis pour le moment (celui avec Tanatos viendra plus tard... quand on en aura trouvé un xDD), si jamais il y a le moindre soucis (surtout pour celui avec Valentine, fait en dehors de toute juridiction...), faites m'en part, je corrige sans soucis =).

Pour Valentine Sesto :

"C'est une relation plutôt amicale que j'entretiens avec ce cher Valentin. Etrange, car au premier abord, je l'avais tout de suite pris pour un mafieux reconverti en croquemort. Ce qui, pour la première définition, n'était pas si éloigné que cela de la réalité. Enfin. De l'ancienne réalité. Bref, toujours est-il que j'ai bien aimé son côté rusé, et un peu sournois. Un genre de moi tueur mais en plus discret. On est pas super pote non plus, on se salue juste quand on se croise, pas de quoi l'accompagner dans une vendetta, ni mois de l'entraîner dans mes problèmes."

Et pour Attila :

"Lui, il paraît que c'est le chef de la milice. Il paraît aussi qu'il était important autrefois. Il paraît même qu'il est dingue. Mais ce qui est sûr, c'es que je ne l'aime pas. Il m'a proposé d'entrer dans sa milice à mon arrivée, et j'ai refusé. J'ai refusé pas parce que je n'avais plus envie de me battre, mais parce que je ne voulais pas être sous SES ordres. Voilà. Je vais peut-être me la jouer patriotique, mais moi, je sers le Gouvernement des Etats Unis d'Amérique, pas un type qui montre les crocs en demandant à la volée qui c'est le patron. Parce que oui, en même temps c'est vrai, je vais pas le reconnaître, lui, comme un patron ! Ça serait du délire. On m'a averti qu'il allait sûrement mal prendre mon refus, mais, hé, au pire, quoi ? Je suis déjà mort, et lui aussi."
Revenir en haut Aller en bas







Minos Minos
Messages : 96
Points : 530
Date d'inscription : 15/09/2013

MessageSujet: Re: Jason Kenneth Ellis - K.I.A.   Jason Kenneth Ellis - K.I.A. EmptyMar 21 Jan - 22:27

Jason Kenneth Ellis - K.I.A. Sceauv11
Il n'y avait en toi que colère, et cette dernière ne fera que s’accroître en ces lieux. Aujourd'hui ce n'est plus toi qui est du bon côté de l'arme mon cher. Malheureusement pour toi. Espérons que tu saches choisir ton camp. Mais n'oublies pas ! Ce n'est pas parce que tu ne peux plus ôter la vie que tu ne peut pas tenter ! Après tout, ce serait tellement moins drôle si l'amusement n'était pas permis... Sutout en Enfer ! Hellcome dude. Voilà un tiquet pour l'rafio et la clé de ton appart' qui t'attends !
Revenir en haut Aller en bas
https://cantata-mortis.forumactif.org






Contenu sponsorisé

MessageSujet: Re: Jason Kenneth Ellis - K.I.A.   Jason Kenneth Ellis - K.I.A. Empty

Revenir en haut Aller en bas







 

Jason Kenneth Ellis - K.I.A.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» La route des enfers est facile à suivre... [Jason]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum