Aede Callaghan [Prédéfini]

Sujet: Aede Callaghan [Prédéfini] Jeu 10 Avr - 11:41

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Jeu 10 Avr - 11:41

Identité
Date du décès - 29/04/1142
Cause de la mort - Incinération. On l'a fait brûlée vive sur le bûcher!
Péché - La Luxure
Nationalité - Irlandaise
Prénom Nom - Aédé Callaghan
Age d'apparence - 20 ans
Profession - Chanteuse au Cabaret
Signe Distinctif - Outre sa magnifique crinière rousse? Hum... lorsqu'elle est prise par le chagrin, sa beauté n'en est que plus resplendissante, plus incroyable encore!

Caractère

What's the fuck is wrong with you ?!

Un chant muet. Un chagrin sublime.
Une femme flamboyante au regard triste.
Tu pleures, belle Ange.
A ce trésor perdu.
Qui plus jamais ne t’appartiendra.

Tu es Mélancolie, Chagrin et Beauté.
Ton visage reflète parfaitement cette mélancolie qui t’éprouve parfois le soir, devant ta fenêtre. Ou lorsque tu regardes le ciel infernal alors que tu rêves de liberté.
Ton regard reflète délicatement le Chagrin qui t’abime lorsque tu penses à ton trésor perdu, à ta douce et belle voix qui plus jamais ne surgira de tes lèvres pâles mais délicieuses.
Ton corps reflète avec grâce et élégance ta beauté surnaturelle. Tes cheveux renvoient ton passé flamboyant alors qu’aujourd’hui c’est ta liberté qui te manque.

Oui Aédé, tu es tel un ange déchu tombé du ciel qui doucement se relève mais qui ne se remettra jamais de sa lourde chute. Tu es une jeune femme délicate et intelligente qui s’est vu arraché les ailes par l’impureté du monde et de la méchanceté de l’Humain. Tu n’es plus qu’émotions tremblantes et tristes qui te rendent tellement belle et impressionnante.
Plus encore, tu n’es plus qu’une femme au chagrin éternel qui doit chanter en playback. Tu n’es plus qu’une pauvre âme errante qui rêve brièvement – parfois - d’une liberté prodigieuse.
Oui, tu espères encore mais ton cœur te le refuse. Il préfère t’enfermer dans une solitude muette et désespérante.

Physique

Ashes to ashes, dust to dust...

Plutôt que d’être dans le plus sinistre coin des enfers, imaginez que vous êtes dans une magnifique forêt, à la verdure resplendissante et aux arbres majestueux. Ça n’a rien à voir avec le contexte, certes, mais avouez que ça change un peu ;)

Au loin, alors que vous vous baladez tranquillement, vous apercevez une silhouette entièrement nue. Un corps de femme qui s'offre à la nature, n'imaginant pas que quelqu'un pourrait l'apercevoir. De peur de vous faire attraper entrain de la regarder, vous vous dissimuler derrière quelques buissons bien touffus et vous l'observez. D'abord, vous remarquez ses formes généreuses, bien équilibrées et bien dessinées. Sa peau est d'une blancheur incroyable, et elle semble aussi douce que du satin. Mais vous ne pouvez pas vous approcher pour la toucher. Alors vous contempler la grâce de ses mouvements lorsqu'elle se retourne, lentement.

Votre cœur fait plusieurs bonds furieux dans votre poitrine tandis que vous lui accordez un regard fiévreux et envieux. Son visage est fin, ses lèvres petites mais brillantes et probablement très agréables à embrasser. Mais ce qui vous rend toute chose, ce sont ses yeux. D'un vert si pénétrant qui vous secoue le corps. D’une émeraude qui rend bien pâle la verdure qui vous entoure. Et puis vous remarquez la tristesse se peindre sur son visage d’ange. Un chagrin qui la ronge jusqu’au plus profond de son âme rendent sa beauté… plus étrange et plus magnifique encore. Le soleil pénètre doucement l’endroit où vous vous tenez et les rayons de ce soleil illuminent la belle chevelure de l’inconnue, ce roux flamboyant qui – en une cascade gracieuse – entoure son visage d’ivoire et effleure ses épaules, comme une caresse silencieuse et délicate. L’envie soudaine de les toucher vous trahi et la jeune femme pose ses yeux émeraude sur vous.

Doucement, elle s’avance et votre cœur manque encore quelques battements. La jeune femme ne semble pas avoir peur et lorsqu’elle se trouve juste en face de vous, une douce odeur remplit vos narines. Vous avez envie de vous excuser, de vous en aller mais la puissance de son regard est telle que vous restez figé. Cette belle inconnue est plus grande que vous, c’est certain et embarrassant. Puis ses mains se posent doucement sur vos yeux. Un effleurement si … sensuel et délicat que vous vous laissez aller. Puis la sensation s’estompe et en ouvrant les yeux, elle a disparu. Tout simplement.

Histoire

Tell me a funny fucking story.

Tu ne te souviens plus très bien de ton passé, cela fait si longtemps ! et même si chaque jour tu y penses, tu ne peux empêcher ta mémoire de devenir floue, volage. Laisses-moi raconter ton histoire Aédé, je te promets que je n’oublierais rien. Ni le meilleur, ni le pire. Comme une promesse de mariage, je vais dévoiler ton histoire, ta vie. Oui ma douce, ne t’en fais pas. Ce sera rapide et après je te laisserais tranquille, promis.

Tu es née en 1120, au sein d’une famille d’itinérants. De voyages en voyages, tu as grandi au cœur du spectacle et de la musique, du chant et de la danse. Toute petite déjà tu impressionnais tes proches avec ta voix cristalline. Une enfant prodige, douée et appréciée des petits gens qui venaient vous voir chaque jour.

Puis tu as bien grandi Aédé. Le temps passe vite lorsque l’ont fait ce que l’on aime, mais toi… tu chantais. Avec une voix si … magnifique et déroutante que beaucoup de monde aimait. Tu es devenue célèbre dans cette troupe et pourtant… Tu es partie. Tu avais besoin d’être libre, de pouvoir chanter partout dans le royaume, de pouvoir raconter un tas d’histoires et de légendes… Et puis tu sais, les femmes comme toi, chantant dans tout le royaume, c’était rare. Tellement rare Aédé que même les plus grands seigneurs ont voulus t’avoir pour t’entendre chanter encore et encore. Parfois même, tu ne faisais pas qu’offrir ta voix, il y avait aussi ton corps. Après tout, tu étais une belle jeune femme à la crinière flamboyante et au regard profond. Personne ne pouvait passer à côté de toi sans se retourner pour te contempler encore un peu, encore quelques secondes avant que tu ne disparaisses.

Mais vois-tu Aédé, être une femme barde n’était pas quelque chose de commun et beaucoup voulurent te faire taire. La cruauté humaine n’a pas de limites douce fleur, et un prêtre a osé te faire passer pour une sorcière. Oui, cette époque était cruelle et ridicule mais on ne pouvait rien y changer, l’église avait le pouvoir et on l’utilisa pour te faire taire à jamais. Ce jour-là, un groupe de gens vinrent à ta porte – dans le lieu où tu te logeais pour la nuit avant de repartir – et t’accusèrent d’être une hérétique, un monstre propageant son horrible chant à travers le royaume. On t’accusa d’un tas d’autres choses encore mais toi, tu te sentais trahie par cette communauté qui t’avait pourtant accueillie les bras ouvert et le sourire aux lèvres. Sur le bûcher, tu les regardas tous. De pitoyables hommes et femmes bernés par une religion ridicule et mensongère. Alors que les flammes montèrent vers toi, tu chantonnas.

♪ Viens à moi, dame de flammes,
Approches-toi et brûle mon âme,
Détruis le bois qui me soutient
Emmènes-moi au plus loin. ♪

♪ Viens à moi, seigneur de la mort
Emporte ces mensonges qui me dévorent
Souffle doux sur mon âme
Délivre-moi des Flammes ♪

Et alors que ta voix s’élevait lentement sur cet endroit où se mêlaient mensonges et trahisons, ton corps brûla avec une passion si dévorante que les plus fous auraient pu croire que ta chanson avait fait plaisir aux flammes te dévorant, détruisant ta peau blanche. Tu as souffert Aédé, plus que tu ne le crois. Tu as souffert et cette souffrance t’a paru interminable. Ta douce voix s’est transformée en un cri effroyable, maudissant ces gens qui t’avaient trahi.

Ce dont tu ne t’imaginais pas, c’est que tu allais atterrir en enfer. Pire encore, alors que Minos prononçait ton jugement, tu te rendis compte que ta voix, ton trésor le plus précieux, avait disparu. Plus rien d’autre n’a compté ce jour-là. Tu avais perdu ta voix, plus rien n’avait d’importance. Aédé, d’une fille insouciante, pleine de vie et chantant ce que tu voulais tu es devenue un ange déchu privé de son trésor, de sa vie. Tu es devenue une femme rongée par le chagrin, dont le visage restait éteint. Mais en même temps, ta beauté n’en a été que plus resplendissante, plus réelle. Une jeune femme aussi jolie que toi dans la vie ne pouvait être que bien plus dans la mort.

Depuis, tu continues de chanter – en playback à ton plein grand regret – dans le cabaret du Quartier 1. Vêtue d’une belle robe noire – qui montre ainsi tes courbes généreuses tout en délicatesse et qui descend jusqu’à tes chevilles, certains clients en oublie parfois ce qu’il faut là juste pour admirer ta silhouette. Il faut dire qu’avec ta peau blanche et tes cheveux roux, le contraste est saisissant de beauté et d’une grâce qui est tienne. Quelques fois pourtant, tu couvres la peau nue de tes épaules par un châle fait de voiles douces et d’un bordeaux raffiné. Comme si le regard de ces gens te gênait un peu. A tes pieds – et mise à part les clients qui profitent de la vue, de belles chaussures noires, vernies et aux talons si hauts qu’il t’a fallu un long moment pour les porter. De ce fait, parfois il t’arrive d’avoir quelques clients voulant quelque chose de plus. Ils veulent ton corps, si beau et si triste à la fois, mais sans ta voix, difficile de te comprendre et surtout de communiquer. Oh bien sûr des fois tu n’as pas besoin d’avoir de voix pour qu’on apprécie ta compagnie mais… cela manque. Ça te manque.

Ah, c’est vrai. Regarde-toi dans le miroir ma douce fleur. Contemples-toi. Lorsque tu ne travailles pas au Cabaret, tu n’es plus ce top canon en robe longue et noire. Non. Tu redeviens l’ange déchu habillé de blanc. Une grande tunique blanche, immaculée comme ta peau d’ivoire et aussi douce que de la soie. Sur tes hanches, tu y as déposé une ceinture marron, comme lorsque tu étais là-haut, à chanter louages et faits quotidiens. Tes cheveux tombant en cascade sur tes épaules jouent un contraste saisissant, tu es simplement magnifique. Peu importe comme tu t’habilles. Oui, peu importe que tu portes avec ta tunique des bottes de cuir marron, ou que tu portes dans ton dos ton précieux instrument. Parce que tu sais quoi, douce fleur ?

Tu souffres chaque jour, tu pleures cette voix que tu as perdue à jamais. Et ça te rend divinement belle.

Joueur
Crédit de l'avatar - © ENTREPRENEURIAL
Who are you ? Appelez-moi... Dydy. Ou la Fouine pour les intimes ;)
Comment tu nous as trouvé ? Par un top-site!
Des remarques particulières ? Ouep! mais je vous rassure, c'est tout du positif!
Alors, déjà j'adore le design. C'est... Inthehell quoi. Simple mais beau. Ensuite le contexte est juste sublime, j'en ai eu des frissons! si si je vous assure! Ensuite, j'ai préféré prendre un prédéfini parce que malgré l'envie de faire mon propre personnage, je suis tombée sous le charme d'Aede ♥ Vous voyez, que du positif ;)

Friends in Death

ROSE NOCTALIS

RECONNAISSANCE

Elle ne la connait que très peu mais elle lui est très reconnaissante de lui tenir compagnie lorsqu'elle se sent seule. Aede apprécie sa présence, simple et faite d'une compréhension douce et apaisante.

MIDAS

AMOUR SECRET

Si elle déteste les hommes en général, à quelques exceptions près, ce qu'elle ressent pour Midas va au-delà de toute compréhension. Avec de simples mots, il remit en place quelque chose de brisé dans son âme. Et depuis ce jour où elle l'a rencontré, Aédé n'a eu de cesse de penser à lui. Sans le comprendre, elle est tombée amoureuse.

WOLFGANG AMADEUS MOZART

ADMIRATION PURE

Ce qu'elle ressent pour cet homme c'est de l'admiration pure. Elle aime ce qu'il fait, ce qu'il offre. Lorsque Aédé l'écoute, son chagrin devient éphémère. Il se transforme en une vénération parfaite qui lui redonne le sourire et de la joie de vivre. Mais jamais elle ne l'approche, car l'admiration peut s'enfuir lorsque l'on s'en approche trop.

[NOM DE VOTRE QUATRIEME LIEN]

[TITRE DE VOTRE QUATRIEME LIEN]

[NATURE DE VOTRE QUATRIEME LIEN]

Sujet: Re: Aede Callaghan [Prédéfini] Jeu 10 Avr - 12:36