Présentation de Néji, pour vous servir ! Sang pour sang ♥

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Dim 29 Juin - 0:03

Identité
Date du décès - Le jeudi 21 Juin 1821.
Cause de la mort - Décède de ses blessures suite à une tentative d’assassinat.
Péché - Avarice.
Nationalité - Anglaise, née à Londres.
Prénom Nom - Néji Septim.
Age d'apparence - 18 ans.
Profession - Funambule
Signe Distinctif - Vous pourrez observer si vous êtes attentif à moi, un tatouage sur mon omoplate gauche en forme de trou de serrure… Trouvez la clef maintenant !

Caractère

What's the fuck is wrong with you ?!

Si vous me posez la question je ne vous répondrai jamais sensible… ou seulement à ma personne alors. En y réfléchissant, me définir pourrait se résumer à quelques mots, mais je tiens à m’expliquer, vous permettez ?

Je me juge joyeuse au quotidien ! Oui, j’aime m’amuser et cela de toute manière possible… Là où vous ne le verrez peut être pas, moi j’y trouverai surement un amusement potentiel. Je m’explique, une pile de pièce dont vous connaissez déjà la somme est posée sur une table. Cela m’amuserai beaucoup de vérifier la dite somme pour vous… Mais ne dites pas que je suis gentille, la majorité de mes actes sont intéressés s’ils sont effectués pour autrui.
Il découle de mon enchantement, un éternel sourire affiché sur mon visage. Certain me définisse ainsi optimiste !
Selon moi je suis également dynamique, en effet, j’aime les activités sportives et me défouler tant que possible. Généralement ces activités me rendent elles même encore plus joyeuse. Rien ne vaut une belle balade à cheval ou une séance de peinture dans une véranda lumineuse avec un bon thé et quelques gâteaux…

Mais je me dois également d’être sincère avec vous et de vous avouer que je ne suis pas parfaite… c’est ce qui fait mon charme aussi, ne vous inquiétez pas !
Il m’arrive parfois d’envier un bien que je ne possède pas mais qu’autrui possède… pour le moment. Comment les gens communs appellent ça déjà… Ah oui, la jalousie. Je ne m’estimerais pas pour autant si bat. Je laisse volontiers certaines choses à autrui comme… la colère, les problèmes ou encore les objets de valeur médiocre. En fait, je déteste juste ne pas avoir ce qui me rendrait encore plus heureuse que ce que je suis. On peut voir ça comme une quête pour un bien-être temporaire, mais qui ne demande qu’à être renouvelé de manière éternelle. Voilà ma vision des choses. Vous vous douterez donc que tout est bon pour obtenir ce que je désire. Je n’hésiterai jamais à employer tous les moyens possibles pour obtenir ce que je veux sauf les dépenses. Je déteste les pertes inutiles et tout ce qui commence par « moins » m’indispose au plus haut point. Et puis… avouez le, un joli sourire vaut bien tout l’or du monde, non ?

Physique

Ashes to ashes, dust to dust...

Je me sentais cotonneuse… Comme changée. Tout en me relevant sur mes genoux frêles, j’observai autour de moi.

Où suis-je ?

Je cherchai un moyen de m’observer. Un courant d'eau, un fleuve était présent. Amplement suffisant ! En avançant vers ce dernier , je me demandai toujours où je pouvais être… qu’importe tant que je ne verrai pas mon visage !
C’est avec soulagement que je constatai que peu de changements… changements ?
Je mesurai de toute évidence toujours un petit un mètre soixante pour mes… Hey, c’est vrai qu’à bien y réfléchir, je ne me suis jamais pesée. Mais je ne suis pas épaisse hein ?! Le second point qui attira mon attention fut mes cheveux, il n’avait jamais été aussi long … Il tombait délicatement et dans une harmonie parfaite au niveau de mes cheville. D’un blond clair, on pourrait même les juger blancs à les regarder de loin… Sur les côtés de mon visage, tombait délicatement deux tresses, quelques mèches de cheveux plus importantes trônaient en guise de frange. Mon visage est resté doux et pale avec de délicate courbe… Il avait presque un aspect fragile comme de la porcelaine. Le cou qui suivait était tout aussi fin avec une délicatesse semblable au reste de mon corps. Les habits que je portai me surpris à leur tour. Je ne suis vêtue que d’une simple robe noire à bustier et de long gant en velours…

Je devrai refaire ma garde-robe … Quoi que celle-ci met mes formes en valeur…

J’observai longtemps mes yeux en déposant ma main sur la vitrine qui reflétait la femme que je découvrais. Que je devenais…
Mes yeux étaient d’un bleu profond tel une nuit sans lune. Ces derniers réfléchissaient comme cette pénombre, de multiples éclats de lumières telles des étoiles provenant des lampadaires alentours.
Pourquoi ce corps d’une allure si pure me fut confié ? L’ai-je vraiment méritée ? Après tout… Michel Ange disait bien que les femmes chastes gardaient une jeunesse éternelle… Car oui, si l’on parle du physique jusqu’au bout et au plus loin que remontent mes souvenirs, je n’ai jamais connue le plaisir de la chair.

Alors, où suis-je ? Je dois me rappeler.

Histoire

Tell me a funny fucking story.

Je regardai autour de moi... Où suis-je ?
Je m’assis au bord de l'eau et réfléchis. Je fis un effort afin de me rappeler

Je sais qui je suis, je suis Néji Septim.

Les souvenirs revinrent comme un vieux film. Je me rappelai en premier d’un chiffre… 20 ans, mon âge. Néji Septim dans la belle ville de Londres 1821… Tout commença quelques mois plus tôt.

Il neige… c’est l’hiver, je me rappelle être dans un bureau, il est spacieux et un feu brûle dans une cheminée. Un homme se tient devant moi. Il affiche une expression grave.

Mademoiselle Septim… vos lettres pour vos collaborateurs en Chine ont été interceptées par la garde de l’empereur Daoguang. J’ose espérer que vous considérez la gravité des faits…

Je me rappelle ne pas avoir eu peur ce jour-là alors que c’est à ce moment précis que le compte à rebours avant la mort s’était lancé !

Et bien ? Ignorons ce désagrément. Renvoyez sur-le-champ d’autres demandes… j’ai besoin de cette marchandise et vous le savez… C’est un marché trop lucratif pour l’abandonner ! Et nous avons de plus en plus de demandes… Si c’est un risque à prendre pour être la première personne à commercialiser ça, je le prendrai ! Ce n’est pas une guéguerre qui va nous empêcher de faire fortune, non ?!

L’homme partit de cette pièce sans rien dire. Je me tournai vers la fenêtre pour observer ce paysage, Londres enneigé. Ces marchandises… de Chine, de la porcelaine ? Mais ce n’est pas si précieux que ça... du thé ? Laissez-moi rire… Je m’en rappelle maintenant : L’opium.
A mes 16 ans, j’avais héritai de l’entreprise familiale de commerce avec le continent d’Asie. Des épices en Inde, de la soie et autres babioles étaient vendus à bon prix. Et l’opium… cette sublime drogue nouvelle et séduisante pour les nouveaux riches. En plus de cela, elle se vend bien et possède un prix important. Et le meilleur de ce commerce : les clients sont fidèles car accrocs.
C’est vrai que ce produit n’était toujours pas popularisé ou courant au Royaume-Uni. Seuls de rares personnes en ramenaient de Chine et mon entreprise fut la première à faire, sous couverture, ce commerce.

Tout en continuant d’observer cette ville, je pensai aux sommes importantes d’argents en jeux. J’étais persuadée de devenir encore plus puissante, influente et riche. Avec ça, j’achèterai d’autres usines et logements que je lourais à des prix exorbitants afin de faire monter les tarifs et devenir la reine des logements londoniens ! D’ailleurs… je me demandai même si, dans quelques années, je pourrai racheter les logements de la couronne ?

A force de réfléchir à tout cela je n’avais pas remarqué que j’affichais un sourire immense, reflétant mon plan machiavélique… qu’importe la santé d’autrui, qu’importe le nombre de gens qui n’auront plus de logements… Je serai la personne le plus riche de cette ville ! La plus importante du commerce mondial !
Un rire m’échappa enfin et un pas de danse.

C’est tellement parfait… Peut m’importe la guerre entre Chine et couronne… Nous gagnerons et j’en profiterai…

Et c’est ce qui se produisit au cours des prochains mois, l’opium marchait à merveille ! Je n’observai pas l’évolution politique du pays mais commerciale, je possédai une bonne partie de la ville mais… Il m’en fallait encore plus !

Une nouvelle date, un bon dans mes souvenirs m’apparut : Mardi 21 juin 1821… Un bel après-midi de début d’été.

Je me revis en train de relire une lettre, le sujet… Un nouveau partenaire commerciale en Chine, je l’avais reçue il y avait maintenant 15 Jours :

Cher Mademoiselle Septim.
L’opium étant en plein essors dans notre beau pays de Chine et votre sucée dans la revente nous fais croire qu’un partenariat entre notre entreprise de production et votre revente en royaume unis serait le bienvenue. Nous vous garantissons une livraison bien plus importante et régulière que nos confrères moins bien organisés. En échange nous demanderons simplement un petit intérêt et une garantie d’achat, nous nous chargeons de vous fournir également nos meilleurs produits et une discrétion à toutes épreuves.
Si vous êtes intéressée, nous vous proposons de nous rencontrer en soirée jeudi 21 juin dans notre petit entrepôt au bord de la Tamise à Woolwich.

Je vous prie d’agréer, Mademoiselle Septim, l’expression de mes salutations distinguées.

Xin Zhao, directeur de l’entreprise de production de thé et autres plantes.

Je me situai dans une voiture qui se déplaçait rapidement de toute évidence vers le lieu de rencontre, personne ne m’accompagnait. J’avais estimé qu’en tant que vraie femme d’affaire, je devais me charger seule de cette occasion inespérée et magnifique !
Durant ce voyage, je me rappelai mettre perdu dans mes pensées… 20 ans et je n’avais toujours pas de famille. Ce n’était pas faute d’avoir des prétendants ! Je n’avais que le choix ! Mais je n’avais pas le temps, pour moi, seul les affaires comptées. Pourtant, une légère nostalgie me prit. Je tentai de me rassurer à voix haute plusieurs fois seule.

J’aurais largement le temps quand je serai riche… mais vu que je serai plus âgé, les hommes ne voudront de moi que mon argent ! Je pourrais toujours adopter… Non ! Trop couteux… Ho et puis qu’importe !

Qu’importe la famille en avais-je conclus… Seul, au moins rien ne m’empêcherais de progresser !

A mon arrivée, le conducteur m’aida à descendre de la voiture et repartit quelques minutes après avec pour instruction de venir me chercher dans deux heures… Il était déjà 19 heures.
Je me dirigeai vers l’entrée de l’entrepôt qui paraissait assez âgé.
Pour l’occasion je m’étais habillée avec attention, ma plus belle robe rouge. J’appelai à voix haute ne voyant personne venir :

Il y a quelqu’un ? Je suis mademoiselle Septim !... Et je n’aime pas attendre !

Quelqu’un vêtu de manière traditionnelle chinoise se présenta enfin à la porte.

Mademoiselle Septim ! C’est un honneur, quelle joie, vous êtes venu… venez dans mon bureau nous y serons plus à l’aise ! Navré pour le cadre, il faut savoir rester discret ! Je peux vous proposer un thé ?

Quel respect ! Malgré cet aspect un peu familier, je fus flattée d’être traitée à ma juste valeur !

Volontiers ! Tilleul menthe avec quelques gouttes de citron et une cuillère de miel serait parfait !

Rien n’est trop bien pour vous mademoiselle…

Je souris et le suivi dans son entrepôt qui, à ma grande surprise, était bien vide.

Vous ne possédez pas de valeur ?

Mademoiselle, ce n’est qu’un lieu de rendez-vous ! Mes marchandises sont ailleurs, je ne vous ai apporté qu’un échantillon.

Fort bien !

Il m’avait emmené dans une pièce, un bureau chaleureux comme je l’ai apprécié. Il m’invita à me mettre à l’aise, ce que je fis avec joie. Un bon fauteuil et un thé quelques minutes après… L’homme me parla de son commerce le temps que je bus mon thé, il était parfait avec en plus un gout qui m’était étranger. L’homme m’avait assuré que c’était une touche chinoise. Délicieux.

Quelques secondes après, un bâillement me saisit et mes yeux devinrent lourds.

Si vous le permettez, concluons vite cet accord… je commence à être fatiguée de cette longue journée…

Puis un deuxième bâillement. Soudain l’homme sourit en se relevant de son fauteuil en face de moi.

Pourtant mademoiselle… Elle risque d’être encore longue.

Un troisième bâillement et plus rien.

Je me réveillai d’un sommeil lourd. J’étais attachée... Ligotée. Combien de temps s’était-il écoulé ? Et, où étais-je ? Et cette douleur, comme cette position était inconfortable sur cette chaise en bois. Il faisait noir. La nuit était tombée ?

Si c’est une blague monsieur Zhao… elle n’est pas amusante !

Une réponse vint du bous de la salle où je discernai un homme avançait, sa voix était devenue agressive et menaçante.

Hé, je n’aime vraiment pas ce faux nom… mais tu pourras appeler ton assassin ainsi.

L’homme apparut entouré de plusieurs autres vêtus comme lui et armés de diverses armes, principalement des armes blanches. Pour la première fois de ma vie, je senti une vrai peur me saisir.

Qu’ai-je fais ?! Pourquoi ? Je n’ai pourtant pas refusé !

L’homme pencha la tête avec un sourire de pitié.

On ne sourit plus ?... Comme tu es mignonne et innocente alors que tu prétendais devenir la première commerçante d’opium… Tu aurais dû rester à t’es vulgaires soies et épices ! L’opium est mon terrain de chasse et il appartient également à la Chine… Ton appétit pour l’argent ta conduit ici… et dans tous les cas, si tu ne n’étais pas venu de toi-même, on t’aurait trouvé.

Je tentais de reprendre mon souffle.

Je… non attendez ! Je vous laisse le commerce ! Ne me tuez pas ! Je… Je suis une bonne chrétienne vous savez ? Je … Je suis une personne respectable…

L’homme releva simplement un sourcil.

Je m’en fous.

Soudain sans prévenir, il souleva son sabre et le planta de toutes ses forces dans mon corps. Je sentis un éclair s’abattre sur moi, une flamme s’éteindre, le froid m’envahit, tout devins flou. Quelques gouttes de sang s’échappèrent de ma bouche sous le choc. La douleur ne vint que quelques secondes après, le temps que je réalise que cette lame me transperçait. Un des hommes relâchât les liens et mon corps tomba par terre, la lame s’enfonça un peu plus dans mon corps. L’homme rigola longuement.

Je te laisse ce sabre en souvenir ! Sois contente, tu as gagné quelque chose de plus aujourd’hui !

Ils partirent. Moi, je restai seul.

Non… non… j’ai peur.

Je ne sais pas comment, mais je me trainai jusqu’à l’extérieur du bâtiment. Je n’étais en réalité pas loin de l’entrée. Je restai au bord de l’eau et réussi à me relever pour fixer l’horizon. Le sang coulait en filet régulier de mon ventre où le sabre se maintenait.

Non... je ne veux pas mourir la nuit… j’ai peur...

Une force intérieure me poussa à garder espoir et à luter, je maintenais le sabre pour éviter d’intensifier le flux de sang. Je pris quelques minutes pour me questionner.

Ma vie est la plus parfaite qu’aucun homme n’ai pu vivre jusqu’à aujourd’hui. Je suis une réussite vivante, alors… pourquoi ça doit finir ainsi ? Non, ça ne va pas finir.

Le soleil se levait. Ce dernier fut le plus beau de toute ma vie. Londres se réveille, la vue était magnifique. Je fermai les yeux et senti le pain chaud des boulangers au loin, les pleures des enfants se levant et le clocher de l’église qui sonnait… Pourquoi cette simplicité qui se présentait devant moi me séduisait ? Je réalisai que je n’avais jamais connu la simplicité ou la joie de la famille.

Il… me manque quelque chose… Dommage pour moi qu’il soit trop tard.

Je fermai les yeux, sera mes mains contre la poignée du sabre que je maintenais depuis près de 15 minutes maintenant. Je me mis à prier et pleurer en réalisant que je ne pouvais changer ce qui devais ce passé :

Pardonnez-moi…

Et prenant une dernière respiration profonde, sous cette lumière naissante, je tirai de toutes mes forces le sabre pour le retirer. Un flot de sang s’échappa de mon corps et une douleur plus importante que toute celle que je pus connaitre me saisit, un cri déchira ce silence matinal, le mien. Je me laissai tomber au sol, l’herbe était aussi froide que moi. Un dernier sourire se dessina. Je ne pus soupirer qu’un dernier mot.

Libre…

La cloche résonnait toujours au loin. Mes yeux se fermèrent doucement, ce chapitre de ma vie se terminait mais non mon existence.

En rouvrant ces derniers, je ne senti plus vraiment de douleurs mais une sensation de tomber, de tomber encore et encore puis…

Je fini de réfléchir et me releva.

Je suis… morte ? C’est le Paradis… ? Ca n’y ressemble pas… Oh non ! Pas l’enfer quand même ? Mais où sont les flammes ?

Ces souvenirs de promesse que la religion nous contait devenaient flou…
Je vis un homme âgé au loin et m’approchât de lui et le saluât poliment. Ce dernier semblât aveugles je remarquai maintenant que je n’étais pas seule. Nous devions traverser sur un bateau. La situation me dépassait, mais je me contentai de suivre. Sur l’autre rive un homme se présenta à son tour, Virgil s’appelait-il… Je le trouvai intimidant comme ce lieu. Si je devais rester ici pour l’éternité, j’espère m’y sentir plus à l’aise plus tard… Je ne posai aucune question et essaya de me faire la plus petite possible… Ce n’était pas si dur avec ma taille. Une fois les alentours présentés, j’espérai au plus profond de moi que personne ne me remarqua. Je finis ma journée épuisée là où l’on m’avait dit d’aller, un petit appartement. Je méritai bien un peu de repos.

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Friends in Death

Abelya Ionas

Quand je tombe, elle me rattrape !

C’est à mon réveil que je la vis pour la première fois, penchée au-dessus de mon lit. Au début, j’avais un peu peur d’elle, ce n’était pas banal comme approche. Mais quelques jours après, elle m’aida à m’intégrer dans ce quartier. C’est grâce à Abelya que j’ai obtenu mon métier. Des fois elle est un peu froide mais au final je l’apprécie bien… au moins elle a toujours un truc à me dire… Je me demande si on va rester amie ou si ça va évoluer.

Virgil

Il me fait peur ! mais il m'intrigue.

C’est lui qui est venu nous chercher. je l’ai vu qu’une fois mais je le trouve intimidant… Je suis curieuse de savoir si il est toujours comme ça ou non. Bref, il reste à découvrir sur cette personne.

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